Si Julia Volk devait être un personnage d’opéra, il serait peut-être inspiré de celui de Carmen de Bizet.
Femme solaire, forte, espiègle à l’expression teintée de nonchalence et de légèreté dans son premier EP, c’est une personnalité bien plus complexe que nous découvrons au travers de cet acte II.
Solitude, abandon, peur de l’engagement, sororité et relation passionnelle, c’est ce que raconte Robe blanche. Un univers planant et mélancolique, une voix puissante et chaleureuse et une plume qui s’assume aujourd’hui intimement bouleversante et bouleversée.