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This Here | Bobby Timmons | 03:33 | |
Moanin' | Bobby Timmons | 05:08 | |
Dat Dere | Bobby Timmons | 05:25 | |
Lush Life | Bobby Timmons | 02:29 | |
The Summit (Live 1961) | Art Blakey, Lee Morgan, Wayne Shorter, Bobby Timmons | 12:07 | |
Come Rain or Come Shine | Bobby Timmons | 04:30 | |
Prelude to a Kiss | Bobby Timmons | 03:21 | |
My Funny Valentine | Bobby Timmons | 05:06 | |
The Party's Over | Bobby Timmons | 04:11 | |
Moanin' | Ari Hoenig, Tigran Hamasyan, Gilad Hekselman, Orlando Leflemming | 08:44 |
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Bobby Timmons débute l'apprentissage du piano à l’âge de 6 ans avec un professeur de musique classique. En 1952, il fait ses débuts de musicien professionnel dans des orchestres de rhythm'n'blues. Il s'installe à New York en 1954, et entre dans la formation de Kenny Dorham, qui joue au Cafe Bohemia (1956). En 1957, il rejoint le quintette de Chet Baker avec lequel il enregistre son premier disque ; la même année, il fait une tournée avec Sonny Stitt. Puis il joue dans le grand orchestre de Maynard Ferguson, et devient membre des Jazz Messengers : il remplace Horace Silver, parti monter sa propre formation (1958-1959). Sa composition, « Moanin' », dans l’esprit funky-soul-gospel, obtient un succès international considérable. La tournée des Jazz Messengers en Europe et en France confirme la notoriété du groupe (1958). Lorsque Timmons arrive chez Julian « Cannonball » Adderley (1959-1960), il apporte avec lui deux compositions qui seront à leur tour de grands succès musicaux et commerciaux (« This Here, That Dere »). Timmons effectue des allers et retours chez Blakey et Cannonball. A partir de 1961, il monte son trio, avec Sam Jones et Jimmy Cobb. Le groupe n’a plus le son, l’âme, l’envergure des précédentes formations et pourtant le répertoire est identique. Timmons ne joue plus que dans les clubs de New York ou Washington. Atteint d’une cirrhose du foie, il meurt dans un hôpital de New York. Adepte du jeu « block chords » qui consiste à frapper les notes en accords groupés les deux mains en même temps, Timmons donne ainsi à la formation qui l’entoure un regain de puissance.