Thierry Mutin

1964. 8 ans première guitare…9 ans :The House of the Rising Sun comme une course dans le noir pour atteindre la lumière du rock. Ensuite les âges de la parole avec Dylan, Cohen et tous ceux qui avaient quelque chose à chanter et à dire. Et toujours le cœur oscillant entre rock et ballade, entre science-fiction et Rimbaud…Les mots les plus forts avaient toujours raison…Et la musique était une seconde nature. Je dormais déjà avec ma guitare. 1973. 15 ans premiers concerts soigneusement préparés, les premières chansons et le pouvoir des raconteurs d’histoire accrochés à leur guitare comme un indien à son cheval. L’envie de plaire et des chansons de plus en plus écrites, travaillées comme des tableaux. Le goût des refrains qui font décoller… 1984. 1984 de Georges Orwell n’était encore que le titre d’un livre de science-fiction, mon premier single (Carrère) Deux chansons de combat. L’envie de vivre était devenue plus forte que l’envie de plaire. Milliardaire comme Personne et T’as mis tes rêves debout… 1989. Le contreténor comme un âge nouveau. Le déferlement des media, les questions « comment faites vous ? » et un album de chansons d’amour, marqué par la musique épique, le pop rock et les ballades qui ouvrent le cœur. Un âge d’or ? Certainement pour les concerts sans fin, les voyages, le public et ce combat qui continuait pour arriver à n’être que chant, poésie et musique. Ensuite, science, philosophie, écriture, peintures et musique s’enchainent dans la volonté de développer une forme d’art total (Songs of the Ring, mon premier opéra pop rock) 2022. Mes rêves sont toujours debout et l’album XII nait en studio. Le pop-rock plus que jamais, coloré d’accents épiques imaginés pour la scène. XII chansons écrites, composées pour la force des mots, XII chansons d’amour X-tremes… 2023 La Saga PREDICTS. Une folie. Une épopée de science-fiction en 7 volumes, 350 illustrations originales et une symphonie… 2024……..un nouvel album………..suspens Je vis toujours avec ma guitare, mon clavier, mon cahier à dessin et plus que jamais l’envie d’être…jusqu’au bout.