Jürgen Drews
54 191 fans
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| Wir leben Schlager | Jürgen Drews, Ben Zucker, Kerstin Ott, Matthias Reim | 03:01 | |
| Ein Bett im Kornfeld | Jürgen Drews | 03:03 | |
| Das kann doch nicht wahr sein | Jürgen Drews | 03:45 | |
| Hey, wir woll'n die Eisbärn sehn | Puhdys, Jürgen Drews | 03:26 | |
| Ein Bett im Kornfeld | Jürgen Drews | 02:59 | |
| Ich bau dir ein Schloss | Norman Langen, Jürgen Drews | 03:05 | |
| Irgendwann irgendwo irgendwie | Jürgen Drews, Kerstin Ott | 03:17 | |
| Wieder alles im Griff | Jürgen Drews | 03:38 | |
| Amigo Charly Brown | Jürgen Drews | 04:15 | |
| Mit dir sofort und ohne Ende | Jürgen Drews | 04:02 |
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Jürgen Ludwig Drews, alias Jürgen Drews, naît le 2 avril 1945 à Nauen, une ville située dans l'arrondissement du Pays de la Havel et la région de Brandebourg (Allemagne). Son enfance et son adolescence sont marquées par son apprentissage et son goût de la musique, au point qu’il obtient dès l'âge de 15 ans le prix du meilleur joueur de banjo du Schleswig-Holstein en tant que membre du groupe de jazz Schnirpels. Il devient ensuite guitariste successivement des Monkeys puis de Chimes of Freedom (qui deviendra Die Anderenlorsqu’il déménage à Kiel où il s’inscrit en 1967 en tant qu’étudiant en médecine. Il abandonne finalement son cursus deux ans plus tard pour se consacrer à la musique, mais après avoir publié deux disques avec son groupe, la maison de disques fait faillite et il se consacre un temps à une carrière d’acteur. Il revient toutefois vite à la musique puisqu’il entame sa carrière solo en 1973, publie son premier album Zeit für meine Songs (littéralement : « Il est temps pour mes chansons ») en 1974 et connaît un premier véritable deux ans plus tard avec le titre « Ein Bett in Kornfeld », au moment où sort son deuxième opus. Celui-ci, intitulé Ein neuer Anfang réussit à se hisser à la 43e place des charts allemands, ce que ne parviendront pas à faire les neuf albums suivants. Il faut en effet attendre Liebe muss ein bisschen Sünde sein (n°89 en 1994) pour voir Jürgen Drews réapparaître dans les charts albums locaux. Plusieurs autres albums valideront le succès commercial du chanteur de schlager, comme Wieder alles im Griff (n°58 en 1999), Schlossallee (n°20 en 2010) et surtout Kornblumen (n°18, son meilleur classement local, obtenu en 2013). De nombreuses compilations célèbrent son répertoire pléthorique, comme Geil war’s… Danke Jürgen ! en 2023, qui se hisse à la cinquième place des charts outre-Rhin.
