Derrière le nom d'emprunt de DatA se cache David Guillon, l'un des nouveaux sorciers de l'électronique française, qui en trois ans et trois maxis a su imposer son empreinte dans le domaine.
Sa carrière fulgurante démarre avec l'EP Trop Laser en juin 2006. Paru sur le label Ecler O'Shock et distribué par Naïve, le maxi rend compte des influences bien maîtrisées de DatA, partant d'un base disco robotique façon Giorgio Moroder jusqu'aux boucles réminiscentes de la French touch.
En 2007 suit Aerius Light qui confirme l'originalité du jeune DJ qui croule sous les sollicitations de remixes pour Nelson et Benjamin Diamond (Diamondtraxx), Felix Da Housecat, M83, Danger, TEPR & Grand Marnier ou son collègue de label Terry Poison. Le nom de DatA circule dans les cercles electro et journalistiques.
Un troisième maxi, Rapture, paraît en 2008, en attendant l'album One in a Million qui devrait porter DatA au firmament de l'electro française.
