Jadis musicien de rock versé dans la new wave, Danton Eeprom s'oriente tout naturellement vers l'electro qui lui permet d'assouvir sa passion pour les claviers et la technique du mixage.
En 2005, il participe à la compilation Sci-Fi Hi-Fi Vol. 1 du label Soma et publie l'EP Retronica de Rêve sur le label berlinois Electrobot Records. La même année suit l'EP Prohibition (Virgo Music). Parallèlement, Danton Eeprom consolide sa réputation de DJ entre Berlin et Londres et remixe les singles de Simian Mobile Disco, Au Revoir Simone, Lykke Li et Little Boots.
Dandy de l'electro popDeux nouveaux EP paraissent en 2006, Disko Trash (Elektroluv Belgique) et Ableton and Screaming (Tsuba Records). Après le maxi « These Eyes / Strictly Erotics » publié sur son label Fondation, Danton Eeprom fait son entrée dans le label Infiné avec « Wings of Death », suivi de « Confessions of an English Opium Eater » inspiré par le récit décadent de Thomas de Quincey.
Il est alors temps pour le dandy de l'electro de réaliser son premier album, amené par le single « Give Me Pain ». Sorti en novembre 2009, Yes Is More rassemble les perles electro pop rétro longuement confectionnées que sont « Thanks for Nothing », « The Feminine Man » avec Chloé ou « Lost in Music » avec Erika Forster.