SANTINI.
BASTIA TROPICAL CHIC : Nouveau single le 3 juin 2022 !
BASTIA TROPICAL CHIC : Une brûlante cavale sous les tropiques, en terre d’aventures illicites, et un rêve de come-back, à la fois solaire et lointain ... Le scénario aux accents de pop latino chic, est signé Santini, ex Saint André. Le gringo corse, parti de Saint Domingue et revenu à son Ile de Beauté en délaisse les papillons noirs et les clichés pour un road trip sauvage et borderline, à la fois drôle et tragique, lumineux et baudelairien. Le voyage et les origines, les dollars et les racines, l’adrénaline et le spleen...un chemin tout en contrastes. La voix suave de Santini, son sens fluide de la mélodie et des arrangements ciselés, servis par un texte aux références clandestines, font de Bastia Tropical chic une petite bombe-surprise !
Il y a six ans, Jean-Charles Santini, parti sur les traces caribéennes d'un ancêtre corse, rencontrait une autre île, Saint Domingue. En devenant l'un de ses « Gringos » et juste avant de rentrer s’installer définitivement en Corse, Saint André a laissé place à Santini.
Après trois albums (« Le grand soir », « Mon jour de chance », « La proposition »), plusieurs singles en rotation forte sur les ondes belges jusque l’été 2015 (dont « Bleu de toi » « Bop be Hop » et « Comme un éléphant »), ainsi qu’une longue série de concerts et de festivals conclue par une date à l’ancienne Belgique, voilà qu'un autre rythme s'est imposé...
Renouant avec l'insularité mais s'imprégnant d'une culture toute neuve pour lui, Santini découvrait en 2016 Saint Domingue, la République Dominicaine, sa langue, ses sonorités. Et y prenait le temps de l'écriture et de la composition, forcément dès lors pétries de nouveaux horizons. Jusqu’ici adepte d'une pop romantique Saint André a ainsi, pas à pas, laissé place à Santini, à l'Autre en même temps qu'aux racines, pour, d'île en île, livrer sa version 2020, décentrée et solaire, qu'annoncent le single « Voyageurs » et l'album à suivre. Le come-back est donc celui d'un artiste qui a mûri et s'est posé, sans renoncer à lui-même. La voix suave reste. Comme le piano et la guitare, compagnons fidèles, le goût des récits élégants et des arrangements ciselés. Mais avec le regard résolument porté vers l'ailleurs. Les cuivres, les percussions, les rythmes syncopés et autres prières dominicaines ont fait leur œuvre pour conduire le compositeur, auteur et interprète à cette pop toujours chic mais à l'esprit latino. Sans jamais oublier l'Ile de beauté à laquelle celui-ci reste, au-delà des textes, plus qu'attaché puisqu'il y est aujourd'hui installé et où a été tourné le clip de « Bastia Tropical Chic », épisode 1 d’une véritable fresque d’aventures.
« Partir est un retour » dit son titre « Voyageurs ». Une chanson où l’on y entend notamment un riff de cuivres emprunté à l’arrangeur portoricain Willie Colon et la star de la salsa Ruben Blades, tous deux icônes du légendaire label latino des années 70 Fania Records.
Entre Méditerranée et Nouveau Monde, Bastia, Paris, Liège et Samanà, Santini a donc suivi le fil rouge des musiciens nomades : celui de l'accomplissement de l'art dans la découverte. Il chante aujourd'hui les rêves plus encore que l'amour, la vie dans sa richesse et ses contrastes. Avec en tête, un océan à partager. Dans un grand souffle.
Il y a six ans, Jean-Charles Santini, parti sur les traces caribéennes d'un ancêtre corse, rencontrait une autre île, Saint Domingue. En devenant l'un de ses « Gringos » et juste avant de rentrer s’installer définitivement en Corse, Saint André a laissé place à Santini.
Après trois albums (« Le grand soir », « Mon jour de chance », « La proposition »), plusieurs singles en rotation forte sur les ondes belges jusque l’été 2015 (dont « Bleu de toi » « Bop be Hop » et « Comme un éléphant »), ainsi qu’une longue série de concerts et de festivals conclue par une date à l’ancienne Belgique, voilà qu'un autre rythme s'est imposé...
Renouant avec l'insularité mais s'imprégnant d'une culture toute neuve pour lui, Santini découvrait en 2016 Saint Domingue, la République Dominicaine, sa langue, ses sonorités. Et y prenait le temps de l'écriture et de la composition, forcément dès lors pétries de nouveaux horizons. Jusqu’ici adepte d'une pop romantique Saint André a ainsi, pas à pas, laissé place à Santini, à l'Autre en même temps qu'aux racines, pour, d'île en île, livrer sa version 2020, décentrée et solaire, qu'annoncent le single « Voyageurs » et l'album à suivre. Le come-back est donc celui d'un artiste qui a mûri et s'est posé, sans renoncer à lui-même. La voix suave reste. Comme le piano et la guitare, compagnons fidèles, le goût des récits élégants et des arrangements ciselés. Mais avec le regard résolument porté vers l'ailleurs. Les cuivres, les percussions, les rythmes syncopés et autres prières dominicaines ont fait leur œuvre pour conduire le compositeur, auteur et interprète à cette pop toujours chic mais à l'esprit latino. Sans jamais oublier l'Ile de beauté à laquelle celui-ci reste, au-delà des textes, plus qu'attaché puisqu'il y est aujourd'hui installé et où a été tourné le clip de « Bastia Tropical Chic », épisode 1 d’une véritable fresque d’aventures.
« Partir est un retour » dit son titre « Voyageurs ». Une chanson où l’on y entend notamment un riff de cuivres emprunté à l’arrangeur portoricain Willie Colon et la star de la salsa Ruben Blades, tous deux icônes du légendaire label latino des années 70 Fania Records.
Entre Méditerranée et Nouveau Monde, Bastia, Paris, Liège et Samanà, Santini a donc suivi le fil rouge des musiciens nomades : celui de l'accomplissement de l'art dans la découverte. Il chante aujourd'hui les rêves plus encore que l'amour, la vie dans sa richesse et ses contrastes. Avec en tête, un océan à partager. Dans un grand souffle.
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