Dans ce podcast je vais interroger des personnes qui ont des parcours atypiques. Toutes ces personnes ont un point commun : elles ont tout mis en oeuvre pour vivre leur meilleure vie. Mes invité.e.s vont raconter leur parcours mais surtout comment ils.elles. ont franchi chaque étape. J’espère que ces conversations vous permettront de vous rendre compte que tout est possible.Et que quel que soit le chemin sur lequel on se trouve, le plus important est celui qu’on trace devant soi. Un nouvel épisode sortira tous les derniers samedi du mois. Retrouvez les histoires, toutes en sincérité, sous forme de conversations sur le changement de vie avec mes invité.e.s qui ont sauté le pas de ce changement professionnel ou personnel. Avec ces conversations j’espère vous (me ?) donner ce courage de sauter le pas. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
#44 Bénédicte, en double activité : "C’est bien de trouver un équilibre où on conscientise un peu le corps."
Bénédicte est originaire de Grenoble, elle est sportive et aime la nature. Petite, elle était passionnée d’égyptologie et de géologie. Pas commun n’est-ce pas ? Elle explique d’où lui viennent ces passions dans l’épisode. Pour ses études, elle décide de s’orienter vers la géologie et après une prépa bio et une école d’ingénieur, la voilà géo-technicienne dans les travaux publics.Il y a 6 ans, alors qu’elle reprend une activité sportive, une grave blessure l’immobilise pendant plusieurs semaines et l’empêche de reprendre comme elle veut. C’est comme ça, pour réapprendre à bouger en douceur, qu’elle découvre le yoga. Une grande histoire d’amour qui commence.Il ne faudra à Bénédicte que quelques mois pour comprendre tous les bienfaits du yoga et pour avoir envie de les transmettre à son tour. C’est cette transition, encore en cours, qu’elle raconte dans l’épisode. Est-ce qu’il faut le dire à son patron qu’on a une double activité ? Comment s’organiser au quotidien ? Quels impacts sur la vie perso ? Autant de questions à laquelle elle répond en toute transparence.Retrouvez Bénédicte et ses cours de yoga Mouv & Sens sur :- Instagram : https://www.instagram.com/mouvsensyoga/- Internet : https://mouv-sens-yoga-335981.webflow.io/ Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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44:06 | 26/08/2023 | |
#43 Constance, de l’Alsace à la côte d’Ivoire : “Moi j’avais envie de bouger et mon mari non.”
Constance vient d’un petit village d’Alsace où elle était sûre de faire toute sa vie. Pourtant, elle découvre l’Italie puis quelques pays du continent africain. Mais le déclic du voyage ne se fait que pendant ses études lorsqu’une opportunité s’offre à elle. Elle a l’occasion de partir pendant 1 an à l’étranger. Elle décide de saisir cette première opportunité et c’est non sans peur qu’elle part. D’ailleurs, si vous voulez rigoler, écoutez l’épisode, Constance y raconte une anecdote très marrante à ce propos. Comme quoi les enfants ne sont pas tendres avec leurs parents ! Après cette première expérience, Constance ne fait que saisir opportunités sur opportunités pour partir vivre dans toute la France. Jusqu’à son expatriation actuelle en Côte d’Ivoire. Cette expatriation n’est pas la même que toutes celles que j’ai pu avoir dans le podcast. Constance nous raconte tout et nous explique notamment pourquoi elle a décidé de s’expatrier seule bien qu’elle soit mariée.Pour me proposer votre histoire ou un.e invité.e, vous pouvez m’écrire à manon@podcast-ledepart.com.Pour papoter, on se retrouve sur Instagram @itineraire.dunepassionnee.Si vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #43 Constance, de l’Alsace à la côte d’Ivoire : “Moi j’avais envie de bouger et mon mari non.” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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40:59 | 29/07/2023 | |
#42 Laura “Je suis bien hors de ma zone de confort.”
Laura goûte à l’expatriation dès ses études en école de commerce. Depuis, elle a cumulé 3 expériences à l’étranger : 6 mois en Floride en tant qu’étudiante, 2 ans à Hong-Kong en tant que salariée et 3 ans à Dubaï en tant qu’entrepreneuse. Dans cet épisode, elle nous raconte ce qu’elle a appris sur elle et sur la vie pendant ses séjours à l’étranger. On parle de la différence entre l’expatriation en solo et en famille, de comment trouver un logement, de ce qui est le plus difficile mais aussi de ce qui est le plus enrichissant.Références :Média DubaiMadame : https://www.dubaimadame.com/Podcast ExExpat : https://www.exexpat-lepodcast.com/Bonne écoute !Si vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #42 Laura “Je suis bien hors de ma zone de confort.” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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40:56 | 01/07/2023 | |
41 Sarah, quitter l’éducation nationale, “On ne choisit pas le burn-out ni le moment où ça va se passer.”
Saviez-vous que quitter l'éducation nationale était un parcours du combattant ?Sarah était une enfant timide et hypersensible. En grandissant, elle suit le cours de la vie. Les études sont comme un chemin tout tracé. Elle fait une fac d’anglais puis se dirige vers l’enseignement en école primaire. Avec sa personnalité entière et ses fortes convictions, elle n’est pas du genre à ne pas faire de vagues. Elle entre assez vite en conflit avec sa hiérarchie et s’engage dans le syndicat pour faire entendre ses valeurs. Et puis un jour c’est la rupture, le burn-out.L’éducation nationale c’en est fini pour elle. Elle se reconstruit après cette période difficile et trouve une nouvelle voie qui l’épanouie grâce à des outils de développement personnels. Mais elle n’est pas au bout de ses peines et doit se battre pour quitter l'éducation nationale puis pour obtenir ses indemnités. Aujourd’hui tout ça est derrière elle et elle profite pleinement de sa nouvelle vie en tant que cheffe d’entreprise et donne des cours de cuisine japonaise, une vraie passion pour elle.Retrouvez Sarah sur Instagram @osara_lacoste et sur son site internet https://www.osara.fr/.Bonne écoute !Si vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article 41 Sarah, quitter l'éducation nationale, “On ne choisit pas le burn-out ni le moment où ça va se passer.” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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55:49 | 27/05/2023 | |
#40 Anne-Claire “Je me suis rendue compte que j’étais capable de réaliser mes rêves.”
A propos de l’épisodeAnne-Claire a connu plusieurs vies et plusieurs changement de vie. Depuis petite, Anne-Claire a plein de rêves : exploratrice, inventeuse, voyageuse. Mais elle a toujours cru qu’elle n’en était pas capable. Et puis petit à petit, elle a commencé à réaliser quelques rêves et comprendre qu’elle en était capable.Parfois il faut faire des grands détours pour revenir à la case initiale.Cette phrase que dit Anne-Claire à la fin de notre conversation représente assez bien tout son parcours. Elle a eu besoin d’un tour du monde de plusieurs milliers de kilomètres pour comprendre qu’elle était capable d’aller vivre à 1000km de Paris. Elle a eu besoin de 2 ans d’entrepreneuriat loin de sa zone de confort pour comprendre que sa place était d’entreprendre dans son domaine d’expertise.J’adore mon boulot, j’adore ma vie mais ce n’est pas du tout ça que j’ai envie de vivre donc je me dis “Souviens-toi de tes rêves”.J’aime beaucoup l’histoire d’Anne-Claire, déjà parce qu’elle la raconte avec beaucoup de recul et d’analyse. Mais aussi et surtout parce qu’elle explique qu’il n’y a pas besoin d’être profondément malheureuse dans sa vie pour décider d’en changer et pour décider de suivre ses rêves.Les liensLauren Bastide : InstagramCharlotte Pudlowski : InstagramAlice Zagury : InstagramRetrouvez Anne-Claire sur LinkedIn et sa formation Puzzle sur son site où vous pouvez aussi vous inscrire à sa newsletter en bas de page.Crédit photo : Clémentine LaurentSi vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #40 Anne-Claire “Je me suis rendue compte que j’étais capable de réaliser mes rêves.” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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46:33 | 29/04/2023 | |
39 Maëva, artiste : “Je suis une femme trans et je suis super heureuse dans ma vie”
Cet épisode est produit dans le cadre du Podcasthon 2023. Une semaine pendant laquelle plus de 300 podcasts se rassemblent pour parler d’une cause qui leur tient à coeur et pour soutenir une association en lien avec elle. Pour Maëva, femme transgenre qui a manqué de figure d’identification, c’est important pour elle de parler de son association Représentrans. C’est une association qui lutte pour une meilleure représentation des personnes transgenres dans le panorama audiovisuel. Pour soutenir cette association, vous pouvez faire un don en vous rendant sur son site internet. Et pour soutenir le Podcasthon, vous pouvez aussi vous rendre sur leur site et découvrir les autres podcasts et associations mises en avant.Une enfance en margeMaëva est une enfant assez solitaire. Elle joue beaucoup toute seule et avec son imagination débordante, s’invente des personnages et les interprète. Elle est fascinée par les dessins animés, aime les princesses et développe une passion pour les manches ballons. D'ailleurs, elle sent assez vite que quelque chose cloche bien que rien de tout ça ne lui soit refusé par sa famille.Comme l’impression de ne jamais être à ma place.MaëvaUn jour, alors que ses parents sont absents, elle tombe sur une émission de télé où elle apprend l’existence des personnes transgenres. A l’époque on parle de personnes transexuelles, rejetées par leur famille et qui ne peuvent vivre que grâce à la prostitution. Elle enfouit cette idée en elle sans jamais en parler.À ce moment-là c’est le seul et unique exemple que j’ai donc je fais un déni parce que ce n’est pas ce que je veux.MaëvaLa crise identitaire comme des murs à passerEn grandissant, Maëva s’identifie comme un homme homosexuel. Elle fait alors un premier coming out.Mais dans l’épisode, elle décrit son mal-être par des crises qui sont de plus en plus fortes, comme des murs de plus en plus solides à passer. Durant son adolescence elle passe plusieurs crises jusqu’au jour où elle formule sa transidentité à voix haute. Elle raconte dans l’épisode comment elle a vécu cette dernière crise et comment son professeur présent à ce moment-là a réagit.S’identifier en tant qu’artiste transgenreCe n’est qu’à ses 18 ans qu’elle a accès à accès librement à internet et qu’elle peut chercher des figures auxquelles s’identifier. Loin des clichés qu’elle a pu voir dans l’émission télé plus petite, elle cherche des personnalités transgenre artistes. Sachant depuis toute petite qu’elle souhaite devenir chanteuse et comédienne, elle cherche une preuve qu’elle peut vivre son rêve.Elle commence par découvrir des personnalités étrangères dont une chanteuse qui a gagné l’Eurovision. Mais ce n’est pas évident. Aujourd’hui, nous profitons de cet épisode pour mettre en lumière son association Représentrans qui lutte pour une meilleure représentation des personnes transgenres dans le monde de l’audiovisuel. Cette association fait vraiment écho au vécu de Maëva.Une transition en douceurC’est pendant ses années de fac que Maëva commence une transition sociale. Elle commence par demander à ses ami.e.s de l’appeler Maëva et de la genrer au féminin. Elle se rend compte que ça se passe très bien. Ça lui fait beaucoup de bien pendant cette période plus que compliquée sentimentalement et amicalement parlant. Malgré cela, elle échoue à sa dernière année de licence et décide de partir dans une école en Bretagne.C’est l’occasion, à ce moment là, de tout balayer et de tout recommencer à zéro.MaëvaElle intègre cette école en se présentant comme Maëva et se genre au féminin. A nouveau tout se passe bien. Elle en profite pour commencer sa transition médicale. Elle va consulter un psychiatre spécialisé dans le genre, obtient une attestation pour entamer une hormonothérapie. C’est seulement à ce moment qu’elle fait son coming out trans à sa famille. Et encore une fois, elle est surprise de leur réaction. Persuadée que tout le monde réagit avec violence et rejet, elle n’avait pas pensé que cela pourrait bien se passer.Si on ne raconte pas d’histoires plus positives, on n’apprend pas aux gens à réagir plus positivement et plus ouvertement.MaëvaLe message à faire passerMaëva a accepté de me faire confiance et de raconter son histoire avec pleins de messages forts à faire passer. Son témoignage et ceux de toutes les personnes transgenres aident les personnes qui se posent des questions à se projeter. Mais surtout, ça aide à faire avancer les mentalités et à faire accepter les personnes transgenres dans notre société.Au delà de ça, cette histoire pleine de positivité est la preuve que tout peut bien se passer lorsque l’amour et le respect sont là. Il y a encore plein de combats à mener comme l’égalité d’accès aux soins pour les femmes et hommes transgenres, la lutte contre les discriminations à l’emploi et bien sûr la lutte contre la transphobie et les violences faites aux personnes transgenres. Maëva parle de tous ces combats à la fin de l’épisode. On a aussi rapidement parlé de l’art de Maëva : le drag si cela peut vous intéresser.Photo : Jean RanobracSi vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article 39 Maëva, artiste : “Je suis une femme trans et je suis super heureuse dans ma vie” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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60:05 | 25/03/2023 | |
#38 Léo, du sport à la vente : « Dans ma tête CDI égale sécurité »
Dans cet épisode, Léo aborde plein de sujets qui peuvent résonner chez les jeunes et moins jeunes. Comment réussir à nouer des liens en société lorsqu’on est timide ? Comment gérer sa propre déception et celle de son entourage lorsqu’on échoue ? Comment rebondir après des déceptions humaines ? Comment se faire une place stable dans le monde du travail à la suite d’études courtes ?Son enfanceLéo est un petit garçon calme et timide, qui aime jouer au foot. Il grandit avec une image du travail positive. Pour lui, c’est quelque chose qui permet de s’épanouir dans son quotidien. Léo est d’ailleurs le fils de Pat que j’ai eu sur le podcast dans l’épisode 29. Après avoir abandonné l’idée d’être footballeur professionnel, il veut quand même travailler dans le domaine du sport. Son idée est de faire STAPS (sciences et techniques des activités physiques et sportives) à la sortie du collège.Vivre les déménagementsAu milieu de son année de troisième, ses parents lui annoncent qu’ils vont déménager près d’Angers. C’est un choc pour lui qui a toujours imaginé toute sa vie là où il a grandit. Il se pose des questions sur les possibilités après le lycée, alors qu’avec le recul il se rend bien compte que toutes les régions de France proposent les mêmes infrastructures. A Angers il intègre un lycée général où il s’inquiète de ne pas réussir à se faire d’amis. En tant que timide, il partage ses astuces pour se faire des connaissances quand il arrive dans un lieu qu’il ne connaît pas. Le lycée se passe bien, il obtient son bac et part en STAPS.Mais l’école dans laquelle il est pris n’est pas à Angers et il doit encore partir dans une nouvelle région, dans un nouvel établissement où il ne connaît personne. Il doit vivre dans un appartement tout seul et gérer son budget. Pour Léo, c’est le passage à l’âge adulte.Rater ses études et rebondirL’année n’est pas simple, il déchante quand aux études. Il n’accroche pas avec les cours théoriques qui représentent la majorité de son année. A la fin de l’année, il passe ses partiels puis retourne vivre chez ses parents car la deuxième année devait se passer près d’Angers. Malheureusement il apprend qu’il ne valide pas son année. C’est la douche froide, il ne s’y attendait pas et n’avait pas prévu ce cas de figure.De toute façon tu n’as pas le choix, il faut avoir un diplôme.LéoAprès plusieurs jours à chercher quoi faire par la suite pour avoir un diplôme, il reçoit l’appel qui va changer son année. Une formation, BPJEPS (brevet professionnel de la Jeunesse, de l'Éducation populaire et du Sport), existe pas loin de chez lui. Il ne connaît pas cette formation mais est emballé par l’idée. Il passe les tests sans problème et l’intègre. Cette formation lui correspond mieux puisqu’elle est centrée autour de la pratique. L’année se passe et il valide le diplôme, non sans mal, vous pouvez vous en rendre compte en écoutant l’épisode.La magie des rencontres continueAprès ça, c’est l’entrée dans la vie active. Et comme beaucoup de jeunes innocents.es qui débutent en entreprise, Léo vit des déceptions humaines dont une promesse de contrat qui, finalement ne se fera pas. Il prend un grand virage et décide de ne plus travailler dans le monde du sport. C’est encore une fois une rencontre qui lui fera découvrir un chemin qu’il adore, celui de la vente d’articles de sport. Il commence par Décathlon qu’il intègre grâce à cette fameuse rencontre et est aujourd’hui chez Adidas.L’article #38 Léo, du sport à la vente : « Dans ma tête CDI égale sécurité » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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56:54 | 04/03/2023 | |
#37 Marie, coach pro : “Faut-il vivre de sa passion ?”
Et si on parlait carrière et reconversion professionnelle avec une pro justement ? Marie est coach dans ce domaine, elle accompagne les femmes à se dévoiler professionnellement et à vivre pleinement leurs ambitions professionnelles. Pendant cette conversation on a abordé différents sujets comme les objectifs, la reconversion, la salariat, l’entrepreneuriat ou encore vivre de sa passion.Sa vie d’avantAvant d’être coach, Marie a travaillé pendant plus de 10 ans dans la mode de luxe à Paris. Elle était responsable commerciale avant de devenir directrice commerciale et marketing au niveau international. C’est lorsque son mari est muté en Alsace que son parcours professionnel est remis en question.A leur arrivée dans cette nouvelle ville où les opportunités dans la mode de luxe se font rares, Marie tombe enceinte. Elle prend le temps de sa grossesse pour réfléchir à ce qu’elle veut faire et met en place plusieurs actions qui peuvent vous inspirer si vous êtes dans une période similaire. Elle en parle en détail dans l’épisode.Etre coachAprès ce travail d’introspection et d’analyse de son parcours professionnel, elle en arrive à la conclusion que c’est le métier de coach qu’il lui faut. Mais ce métier a une mauvaise image en France et elle ne souhaite pas être associée à cela. Alors elle décide de mettre toutes les chances de son côté pour être prise au sérieux mais aussi pour avoir les bonnes méthodes pour accompagner ses clientes. Elle se forme et obtient la certification RNCP reconnue par l’état.J’ai posé à Marie quelques questions sur le métier de coach en lui-même car c’est un métier qui m’intrigue. Influencée par l’image qu’il a, je ne comprenais pas vraiment l’utilité de ce métier. Et après cette conversation, j’ai vraiment compris ce qu’était le coaching et dans quels cas est-ce qu’il pouvait être utile. D’ailleurs, un peu plus loin dans l’épisode, Marie m’a (presque) complètement décryptée juste avec l’évocation d’une de mes passion.Une coach est une personne qui va t’accompagner sur un processus de changement pour que tu trouves tes propres réponses par le biais d’un questionnement. MarieEn écoutant l’épisode, vous aurez même plein de conseils pour choisir le ou la coach qui pourra vous aider selon votre problématique si vous souhaitez vous lancer dans l’aventure.Evolution professionnelle ou reconversion ?Qu’est-ce que signifie pour vous l’évolution professionnelle ? De nos jours, ce n’est plus seulement atteindre de nouveaux grades dans une entreprise. Ni même gagner plus d’argent. C’est d’ailleurs en ce sens que Marie définie l’évolution professionnelle.L’évolution professionnelle ça peut être plein de choses à partir du moment où ça te met en mouvement et que ça vient te nourrir. MarieAvez-vous déjà pensé à vous reconvertir ? Pour quelles raisons ? On a parlé de cette dualité dans l’épisode. A savoir, est-ce qu’on doit se reconvertir ou est-ce qu’un changement de poste peut suffire ? Marie a de beaux exemples de personnes qu’elle a accompagnées qui ont découvert un nouveau métier ou qui ont redécouvert leur métier en changeant de secteur. La reconversion et le virage à 180°C n’est pas nécessaire à tous les coups mais se poser les bonnes questions si. C’est ce à quoi sert un coaching avec Marie par exemple.Les objectifsTout projet, quel qu’il soit, ne se met pas en place sans objectifs. Et c’est assez opportun d’en parler en ce début d’année. Que vous soyez salarié.e, entrepreneur.e, avec une envie de changer de poste ou de reconversion, savoir vous poser des objectifs est essentiel. Ecoutez l’épisode et notez tous les conseils qui peuvent vous servir. Notamment la technique des petits pas qui consiste à, comme Marie l’explique, découper les objectifs en petites tâches atteignables au quotidien pour avoir l’impression d’avancer.Et si vous pensez que les objectifs ne sont pas pour vous parce que vous êtes salarié.e et que votre métier vous convient, vous pourriez changer d’avis. Je regrette bien de ne pas avoir eu cette conversation il y a quelques années avec Marie. Alors j’espère qu’elle vous apportera toutes les réponses dont vous avez besoin. Et si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à contacter Marie pour lui poser vos questions.LiensInstagram de Marie : @riseandshinecoachingSite internet de Marie : www.riseandshinecoaching.comSi vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #37 Marie, coach pro : “Faut-il vivre de sa passion ?” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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58:06 | 28/01/2023 | |
#36 Marion, spécialiste de l’orga business : « Il n’y a pas un seul instant où je me suis dit « et si ça ne marche pas ? ». »
Marion s'est lancée à son compte en tant que spécialiste de l'orga business il y a moins d'un an. Avant cela, elle a fait 15 ans de salariat dans tout un tas de postes et de domaines différents. Loin d'être quelqu'un d'instable, au contraire, elle sait très bien ce qu'elle veut et se donne les moyens de parvenir à ses fins. Cet épisode peut être un bon coup de boost si vous en avez besoin pour déplacer des montagnes. Marion est inspirante de par son parcours et sa détermination.Un parcours scolaire classiqueDans son enfance, Marion est tête en l'air, elle est capable d'oublier son cartable avant de partir à l'école. Puis, sans identifier à quel moment, elle réalise que le manque d'organisation fait perdre du temps, une hantise pour elle, et c'est un virage à 360° qui s'opère. A tel point qu'elle a fait de l'organisation son coeur de métier.En grandissant, elle se laisse porter par le parcours scolaire classique de la bonne élève : le collège, puis le lycée, un bac scientifique et enfin médecine. C'est en deuxième année de médecine qu'elle réalise qu'elle adore les matières mais n'aime pas du tout l'ambiance de compétition qui y règne. Elle bascule en fac de bio et au bout d'un an, à quelques jours de la deuxième rentrée, elle décide de tout arrêter parce qu'elle n'aimait pas les matières. “J’avais la sensation que je pouvais faire ce que je voulais si je m’en donnais les moyens”MarionUn parcours professionnel atypiqueDès son enfance, Marion a besoin d'apprendre les choses par elle-même. Elle n'aime pas qu'on les lui apprenne. C'est donc rapidement qu'elle se rend compte qu'elle a besoin de se former sur le terrain. Elle commence par travailler dans la vente et surtout par réorganiser tous les rayons auxquels elle est assignée.Marion est terrorisée par le fait d'être entrainée dans une spirale dans laquelle elle n'est pas à l'aise et qu'elle ne maîtrise. Et son choix d'arrêter les études lui a permis de développer des bases de confiance en elle et d'analyse de ce qu'elle aime ou non. C'est comme cela qu'elle arrive à quitter ses emplois successifs dès qu'elle sent qu'elle n'est plus dans l'apprentissage mais dans la routine d'exécution.Elle explique très bien dans l'épisode que chaque changement n'est pas sans stress ni conséquence. N'ayant pas de diplômes, elle doit sans cesse refaire ses preuves et donc sans cesse repartir au bas de l'échelle et avec des CDD qui s'enchaînent. Mais toujours en cherchant des domaines où elle pourrait apprendre.“C’est juste dans la tête, je n’étais pas plus qualifiée que quelqu’un d’autre à côté”MarionPuis un jour elle décide qu'elle veut évoluer dans une grande entreprise et en CDI. Elle quitte encore un CDD et se met dans cette posture particulière qui est qu'elle sait exactement ce qu'elle veut et qu'elle ne va pas s'éparpiller à chercher autre chose. Ces différentes situations dans lequelles elle se met la font grandir et travailler sur ses peurs et ses blocages. C'est comme ça qu'elle a pu se lancer dans l'entrepreneuriat en ayant déjà fait un travail sur elle-même tout au long de sa vie professionnelle en tant que salariée.Aujourd'hui, cheffe d'entrepriseMarion quitte son dernier emploi salarié grâce à un plan de départs volontaires. Ce plan lui assure une sécurité financière, chose qu'elle redoutait le plus dans l'entrepreneuriat. Sans vraiment d'idée à la base, elle utilise ses connaissances en gestion de projet et se lance dans une idée pour tester et améliorer, dévier et itérer selon ses envies. Elle commence par le design d'intérieur avec une branche sur l'organisation de l'intérieur en fonction du mode de vie et sur l'organisation business. Rapidement elle se rend compte que quelque chose coince. Elle achète la formation BSB Academy d'Aline de The BBoost pour formaliser ses envies. Et elle s'oriente vers l'orga business qui est sa vraie zone de génie.“Je suis dénicheuse de solutions, j’adore trouver des solutions”MarionAujourd'hui elle accompagne les entrepreneurs ou très petites entreprises dans la mise en place ou l'amélioration de leur organisation pour leur business. Elle dévoile d'ailleurs dans l'épisode, son ultime conseil d'orga business, le grand gagnant des conseils qu'elle peut donner.RéférencesInstagram de MarionSite internet de MarionBSB AcademyCrédit photo : Moments by MarionSi vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #36 Marion, spécialiste de l'orga business : « Il n’y a pas un seul instant où je me suis dit « et si ça ne marche pas ? ». » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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64:12 | 29/10/2022 | |
#35 Pascaline, pâtissière à son compte : “Ce premier salaire a eu une saveur folle”
Pascaline se reconvertit à 30 ans pour devenir pâtissière à son compte après un début de carrière en tant que cheffe de produit dans l'agroalimentaire. En remontant le fil de sa vie et de son enfance, elle se rend compte que c'était une évidence pour elle d'avoir sa propre entreprise dans ce domaine. Pourtant, le chemin n'a pas été toujours simple et elle raconte ce qu'elle a, concrètement, mis en place aussi bien personnellement que professionnellement pour se faire connaitre dans sa région et vivre aujourd'hui du métier qu'elle a construit.Une enfance baignée dans la cuisinePascaline est une petite fille joyeuse et boudeuse mais surtout pleine d'empathie. Sans vraiment savoir ce que signifiait le travail, elle voyait ses parents faire des métiers qu'ils aimaient et pour lesquels ils se challengent tout au long de leur vie. Elle écrit dans ses dissertations que plus tard elle aura son propre restaurant. Avec un papa professeur de cuisine et une famille qui cuisine beaucoup, la cuisine et la pâtisserie ont toujours fait partie de sa vie.La passion grandissante pour la pâtisseriePourtant, ce n'est qu'il y a huit ans qu'elle a pris une plus grosse place dans sa vie. En effet, après un parcours scolaire pas toujours simple mais bien construit pour arriver à son objectif, Pascaline devient cheffe de produit dans l'industrie agroalimentaire. Ce métier la fait rêver, elle l'adore mais elle ne tombe pas que sur des managers bienveillants. C'est lorsqu'elle ressent le besoin de s'évader de son travail que la pâtisserie devient sa bouffée d'oxygène.C'était un hobby qui, au fur et à mesure, est devenu une bouffée d'oxygène.PascalineSa professionnalisationElle commence à s'y intéresser davantage et à se perfectionner avec des livres, en rencontrant d'autres amateurs.rices de pâtisserie. Elle va jusqu'à quitter son emploi passer son CAP en candidate libre en 2018 avec la ferme intention de devenir pâtissière. Pour apprendre encore et encore, elle déniche des stages en boutique. Puis elle teste la restauration dans des beaux restaurants dans le centre de Bordeaux. De très belles expériences formatrices pour elle. Mais Pascaline ne se contente pas de raconter son parcours, elle le ponctue de plein de conseils qui font suite à son expérience. Comme la façon dont les établissements recrutent dans le monde de la gastronomie.Je pense que c’est compliqué surtout quand on vient d’un autre type de métier, on n’a pas les codes pour l’embauche.PascalineSe lancer à son compte en tant que pâtissièreAprès ces expériences, elle décide rapidement de se lancer à son compte. Sa première idée est de faire une formation vidéo pour les personnes qui veulent passer leur CAP en candidat libre. Mais le timing n'est pas le bon car le CAP est réformé. Elle abandonne l'idée et se tourne vers les ateliers après une analyse personnelle de ce qu'elle aime et n'aime pas dans le monde de la pâtisserie. C'est encore un processus qu'elle raconte dans l'épisode. Elle va même jusqu'à expliquer concrètement tout ce qu'elle a mis en place pour limiter ses dépenses d'argent au moment de se lancer. Aujourd'huiAujourd'hui Pascaline est cheffe d'entreprise. Elle fait des ateliers pour les particuliers chez Zodio. Elle fait également de la création de contenu pour des marques d'ustensils ou d'ingrédients de pâtisserie. Ou encore, des ateliers pour des team building et autres démonstrations à destination des entreprises. Elle a écrit un livre et participé à l'émission Le Meilleur Pâtissier les Professionnels. Elle a plus d'une corde à son arc et j'ai hâte de voir la suite car elle dit dans l'épisode qu'elle a des envies de changement.Références :Instagram de PascalineInstagram pro de PascalineSite internet La crème des bordelaisesChaîne YoutubeChanson A million dreams du film The Greatest ShowSi vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #35 Pascaline, pâtissière à son compte : “Ce premier salaire a eu une saveur folle” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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73:41 | 24/09/2022 | |
#34 [5/4] Charline, bilan après 1 an d’entrepreneuriat : “Je me sens plus prête et plus sûre de moi”
C'est avec une grande émotion qu'avec Charline nous avons enregistré cet épisode bilan. Et c'est avec encore plus d'émotion que je vous le partage aujourd'hui. Cela fait un an que l'on suit Charline dans la construction de son entreprise, il était temps de faire un bilan complet. Dans cet épisode on parle des leçons qu'elle a tiré de sa première année en tant que cheffe d'entreprise, des choses qui lui font le plus peur dans ce nouveau rôle mais aussi de sa future année qui s'annonce tout aussi incroyable.Et si on commençait par le traditionnel bilan des trois derniers mois écoulés ?Il y a trois mois, Charline projetait de démarcher des chef.fe.s pâtissiers.ères à Bordeaux pour se faire connaître dans sa région mais aussi de créer des collections de moules. Ces objectifs sont en cours de réalisation. Elle n'a pas démarché à Bordeaux mais les chef.fe.s pâtissiers.ères sont venu.e.s à elle via Instagram notamment. Pour les moules, elle a diminué le nombre de collections qu'elle comptait faire pour se consacrer à la saison des mariages et donc à la production de gâteaux. Par contre, une nouvelle collection verra le jour pour Noël !Et aujourd'hui alors ?Dans la lignée du précédent épisode, aujourd'hui Charline est alignée avec ce qu'elle fait. Elle est heureuse de faire tous les jours un métier qui la passionne. Elle raconte tous les changements persos qu'elle aussi engendré en même temps que son changement professionnel et qui ont fait d'elle une femme épanouie. D'ailleurs en écoutant l'épisode, vous apprendrez une bonne nouvelle la concernant. Côté pro, elle est heureuse d'avoir son Kbis et son numéro de siret pour rendre tout ça encore plus réel. Elle est en ordre de marche et prête à tout donner pour faire avancer encore et encore son entreprise. Entreprise qui n'était encore qu'une idée dans sa tête il y a un an !Un bilan n'est pas un bilan sans leçonsLes leçons que Charline a apprises pendant cette année sont nombreuses. Au lieu de vous faire un long paragraphe pour résumer l'épisode, voici plutôt une liste de phrases prononcées par Charline pendant notre conversation :« Quand tu commences, il faut soit savoir gérer, soit savoir s'entourer »Charline« Tu peux trouver des millions de raisons pour ne pas avancer »Charline« Je pense que tu ne peux pas dissocier fondamentalement le pro du perso »Charline« Quoi qu'il arrive, tu trouveras une solution »Charline« Peu importe ce qu'il se passe, je ne regretterai jamais »Charline« Plus que jamais je me sens bien et en phase avec ce que je fais »CharlineC'est la finEt voilà, cette aventure podcastique est terminée, j'espère qu'elle vous a plu. J'espère qu'elle aura pu vous inspirer à réaliser vos projets quels qu'ils soient. J'espère pouvoir vous faire vivre une nouvelle aventure en 2023.Si vous voulez me suggérer des invités,C'est par iciL’article #34 [5/4] Charline, bilan après 1 an d’entrepreneuriat : “Je me sens plus prête et plus sûre de moi” est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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76:46 | 27/08/2022 | |
#33 Christine, 4 vies en une : « Je suis curieuse, la vie me mène toujours ailleurs. »
Christine est de nature très curieuse. C'est d'ailleurs ce qui l'a menée à emprunter des petits chemins de campagne tout au long de sa carrière. D'infirmière en hôpital à infirmière scolaire puis formatrice, elle ose faire des choix au milieu d'une société qui prône les carrières rectilignes. Dans cet épisode, on parle aussi bien de changement de boulot que d'évolution de la société et d'épanouissement personnel.L’article #33 Christine, 4 vies en une : « Je suis curieuse, la vie me mène toujours ailleurs. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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57:27 | 30/07/2022 | |
#32 Amy, américaine à Paris : « Mon vrai chez-moi c’est Paris. »
Amy est une américaine qui se sent chez-elle à Paris depuis plus de 10 ans. Arrivée en plein pendant ses études, elle les continue à Paris. Elle connaît le salariat puis l'entrepreneuriat. Aujourd'hui encore elle est artiste peintre à son compte. Reconnaissante de tous les avantages qu'offre la France et amoureuse de Pairs, elle s'y installe définitivement et obtient la nationalité française. C'est ce point que l'on développe le plus dans l'épisode.L’article #32 Amy, américaine à Paris : « Mon vrai chez-moi c’est Paris. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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58:23 | 24/06/2022 | |
#31 [4/4] Charline, un an de création de projet : « J’essaie juste d’être moi. »
On est au quatrième épisode entegistré avec Charline. Mais ce n'est pas le dernier, il y a aura un épisode bilan dans 3 mois ! Dans cet épisode 4, Charline revient sur les 3 mois écoulés depuis le dernier enregistrement. Bilan sur les objectifs, retour sur ce qu'il s'est passé de bien et de moins bien, état d'esprit du moment, vous commencez à avoir un peu l'habitude. Et puis en même temps chaque épisode est différent, chacun apporte son lot de challenge et des réussites. C'est encore le cas de celui-ci.L’article #31 [4/4] Charline, un an de création de projet : « J’essaie juste d’être moi. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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83:57 | 28/05/2022 | |
#30 Bénédicte, 3 expatriations en famille : « J’aime découvrir de nouvelles personnes, c’est mon moteur. »
Bénédicte a déjà vécu 3 expatriations en famille : deux en Chine et une en Inde. Que d'aventures qu'elle raconte dans cet épisode.L’article #30 Bénédicte, 3 expatriations en famille : « J’aime découvrir de nouvelles personnes, c’est mon moteur. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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55:41 | 30/04/2022 | |
#29 Pat, gérante d’un camping et salariée : « Tu ne réfléchis pas, tu réfléchis à ton projet mais tu fonces en fait. »
Pat a déjà vécu plusieurs vies. Une première vie bien remplie en tant que salariée. Une seconde vie à entreprendre en couple en tant que gérante d’un camping. Et puis un retour au salariat avec le cumul salariat-entrepreneuriat. Vous n'avez demandé plusieurs fois de trouver quelqu'un qui avait eu un parcours salariat -> entrepreneuriat -> salariat. Et c'était un sujet que je voulais aussi absolument abonder. Alors je vous laisse écouter cet épisode ou en line le résumé.L’article #29 Pat, gérante d’un camping et salariée : « Tu ne réfléchis pas, tu réfléchis à ton projet mais tu fonces en fait. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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111:01 | 26/03/2022 | |
#28 [3/4] Charline, un an de création de projet : « J’incarne complètement mon projet, il y a un moment il faut que je me montre. »
On se retrouve quelques mois après le dernier épisode avec Charline pour qu’elle nous raconte où elle en est dans son projet. J’espère que vous êtes bien installé.e.s parce que cet épisode est plein de rebondissements. On a parlé de gestion du temps et des objectifs, de la mise au point d’un process, dépasser ses peurs pour aller à la rencontre des gens et faire connaitre son projet. Encore une fois plein de sujets différents qui permettent de se plonger dans la tête de quelqu’un qui lance un projet.L’article #28 [3/4] Charline, un an de création de projet : « J’incarne complètement mon projet, il y a un moment il faut que je me montre. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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70:43 | 26/02/2022 | |
#27 Hors-série. Marion, presque 2 ans après : « C’est un sujet qui me passionne »
Il y a un peu moins de 2 ans, à l'aube du premier confinement, j'interrogeais Marion sur son changement de vie imminent. Après 13 ans de bon et loyaux services en tant que salariée, elle s'apprêtait à faire le grand saut dans l'entrepreneuriat. Depuis, il s'est passé milles choses, Marion est toujours à cent à l'heure.L’article #27 Hors-série. Marion, presque 2 ans après : « C’est un sujet qui me passionne » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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58:37 | 29/01/2022 | |
#26 Hors-série. Bénédicte, 1 an après : « On met énormément de qui on est dans nos projets. »
Il y a un an Bénédicte venait me raconter comment le jour de ses 40 ans a changé sa vie. A l'époque elle avait pour projet d'aider les femmes à travers les changements de leur vie. Depuis, elle monté ce projet qui s'appelle Passages Insolites mais elle a également lancé un podcast sous le même nom puis une marque de vêtements Naiakitsu.L’article #26 Hors-série. Bénédicte, 1 an après : « On met énormément de qui on est dans nos projets. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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36:28 | 22/01/2022 | |
#25 Hors-série. Anne, 1 an après : « Je fonctionne beaucoup à l’instinct et à la sensibilité. »
Il y a un an je faisais la rencontre d'Anne pour qu'elle me raconte comment elle était passée de musicienne salariée à photographe indépendante. Aujourd'hui, on fait le point 1 an après sur son évolution personnelle et professionnelle.L’article #25 Hors-série. Anne, 1 an après : « Je fonctionne beaucoup à l’instinct et à la sensibilité. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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32:32 | 15/01/2022 | |
#24 Hors-série. Massiel, 2 ans après : « Il faut persévérer, il ne faut pas baisser les bras »
Massiel a été la toute première personne à me faire confiance pour venir raconter son histoire sur le podcast. C'était il y a un peu moins d'un an, en janvier 2020. Depuis il s'en est passé des choses, dont le Covid évidement mais aussi des prises de conscience positives dont elle parle dans l'épisode.L’article #24 Hors-série. Massiel, 2 ans après : « Il faut persévérer, il ne faut pas baisser les bras » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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40:05 | 08/01/2022 | |
#23 Lucie, reconversion dans la mode : « On ne peut pas savoir ce que ça va donner donc il faut se lancer pour savoir. »
Lucie s'est lancée dans des études d'ingénieur un peu par hasard mais toujours très motivée. Sans jamais rien lâcher, elle obtient son diplôme et part à Paris pour son premier emploi. Dans LA ville de la mode, elle prend la décision de tout recommencer à 0, de reprendre des études et de mettre toute son énergie dans un domaine qui la passionne. Aujourd'hui elle sait que sa reconversion dans la mode était le bon choix car elle se lève tous les matins fière d'elle et motivée.L’article #23 Lucie, reconversion dans la mode : « On ne peut pas savoir ce que ça va donner donc il faut se lancer pour savoir. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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51:18 | 27/11/2021 | |
#22 [2/4] Charline, 1 an de création de projet : « Le risque à vouloir être vraiment prêt c’est que tu ne te lances jamais. »
Charline revient sur ces 3 derniers mois qui nous séparent du premier enregistrement (premier épisode disponible ici). Depuis, elle ne s'arrête pas une seconde. On a parlé de la difficulté de séparer temps pro et temps perso quand on travaille pour soi, chez soi. Mais aussi de l'importance de se faire accompagner et de se former.L’article #22 [2/4] Charline, 1 an de création de projet : « Le risque à vouloir être vraiment prêt c’est que tu ne te lances jamais. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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58:33 | 01/11/2021 | |
#21 Justine, famille expatriée en Suède : « On cherchait cette différence et donc nous étions enthousiastes de tout. »
La vie de Justine a basculée à la naissance de sa fille.. Alors que le monde l'effrayait et qu'elle pensait rester près de chez ses parents, elle décide sur un coup de tête de partir vivre dans un pays qu'elle ne connaît pas mais qui lui inspire bienveillance et respect pour son enfant. Découvrez tout ce qu'elle a mis en oeuvre pour partir s'installer dans ce nouveau pays et comment elle cette famille expatriée en Suède vit.L’article #21 Justine, famille expatriée en Suède : « On cherchait cette différence et donc nous étions enthousiastes de tout. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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63:52 | 26/09/2021 | |
#20 [2/2] Hélène : « Parfois on est dans la tempête mais le soleil finit toujours par revenir. »
Retrouvez Hélène pour la suite de son parcours. Dans cette deuxième partie, Hélène raconte comment la maternité a changé sa vie personnelle et professionnelle. Professionnellement, elle s'oriente vers l'entreprenariat et plus précisément le marketing de réseau afin de pouvoir travailler tout en gardant son fils avec elle. Elle déconstruit tous les préjugés qu'on peut avoir sur son métier tout en restant réaliste.L’article #20 [2/2] Hélène : « Parfois on est dans la tempête mais le soleil finit toujours par revenir. » est apparu en premier sur Le Départ. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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62:00 | 04/09/2021 | |
#19 [1/2] Hélène : « Moi j’étais déterminée à faire ça même si on m’a beaucoup découragée. »
Cet épisode est le premier d'une série de deux. Dans cette première partie Hélène raconte comment elle est passée d'une première année de médecine à une licence en biologie contre l'avis de son père. D'une vie compliquée au Havre à une vie pleine de rencontres et de bonheur à l'île de la Réunion sur un coup de tête. Puis sa vie de rêve en Australie et enfin la rencontre avec son chéri qui changera aussi beaucoup sa vie.Ses valeursHélène est une petite fille pleine d'énergie au sein d'une grande famille. Elle grandit avec un beau-père photographe animalier et une mère au sein de l'association LPO (Lutte pour la Protection des Oiseaux). Très tôt elle est sensibilisée à la nature, elle connaît beaucoup de choses sur les oiseaux et ça la passionne.Née au sein d'une famille d'artistes également, elle est tiraillée entre l'aspect scientifique de l'étude de la nature et des animaux et l'aspect artistique qui est thérapeutique pour elle.Les étudesElle se lance dans des études de médecine pour faire kiné mais malgré l'obtention de son concours elle s'oriente vers une autre voie : celle de la biologie. La médecine représentait la volonté et la reconnaissance de son père mais elle arrive à faire ce choix de changer de voie grâce à sa mère qui est d'un soutien indéfectible."L'émotionnel finit toujours par avoir des répercussions sur notre corps" HélèneElle passe trois années de licence en biologie compliquées. Entre les cours trop généraux pour elle, une relation amoureuse toxique, une vie étudiante fêtarde, elle finit sa licence mal en point niveau santé et mental. Elle décide un peu sur un coup de tête de postuler pour un master sur l'île de la Réunion.Les voyagesElle part alors direction l'île de la Réunion pour un master "Biodiversité et écosystèmes tropicaux". Hélène tisse là-bas un lien spirituel à la nature. Elle fait des rencontres incroyables et passe une année et demi formidable. Elle se passionne pour les requins et part faire un stage sur ce sujet en Australie."C'est ce qui m'a sauvé, ma vraie vie a commencé là bas" HélèneEncore une fois, elle y passe un an et demi où elle travaille sur des sujets incroyables. Elle nage avec des requins, travaille sur les tortues, sur les coraux. Elle fait encore une fois des rencontres qui marquent sa vie, comme celle avec un aborigène qu'elle raconte dans l'épisode.Le retour en FrancePour des problèmes de visa elle est dans l'obligation de rentrer en France. Avant son retour, elle passe un diplôme de plongée dans le but d'enseigner en France. Malheureusement elle ne peut pas car le diplôme n'est pas reconnu en France. Elle part alors faire une saison en Grèce."Elle m'a dit "Tu sais dans la vie, il y a ceux qui vendent des paddles et ceux qui en font"" HélèneC'est lorsqu'elle rentre de cette saison qu'elle rencontre son chéri. Havrais, qui n'a jamais voyagé. Elle s'installe avec lui et met de côté un projet de travail en Floride. Appelée par une connaissance pour un poste d'éducatrice en environnement marin, elle emmène son chéri habiter avec elle à Nice.Et la suite ça sera dans le prochain épisode ...RéférencesAssociation LPO (Lutte pour la Protection des Oiseaux)Instagram @louveyourself.naturo Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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54:59 | 28/08/2021 | |
#18 [1/4] Charline, 1 an de création de projet : « J’ai toujours eu besoin d’avoir des objectifs pour avancer »
Charline a accepté qu'on se donne rendez-vous tous les trois mois pour suivre l'avancement du lancement de son projet pendant 1 an. Charline est architecte pâtissière et comme elle cherche à allier l'art et la technique dans ses études d'architecte, aujourd'hui elle souhaite allier architecture et pâtisserie dans son nouveau projet.Lier l'art et la scienceEnfant, Charline était créative, manuelle et déterminée. Elle faisait tout pour être la meilleure dans tout ce qu'elle entreprenait. Assez jeune elle voulait devenir prof de maths, jusqu'à se rendre compte qu'elle n'aimait pas tant que ça les maths. Au lycée, artiste dans l'âme mais bonne élève, elle cherche à allier la science et l'art. C'est ainsi qu'elle se dirige vers l'architecture.Elle fait des portes ouvertes et tombe sur l'école de ses rêves : l'école d'architecture de Rennes. Elle passe les concours et est admise. Commencent alors 5 années d'études. Sa quatrième année, elle la passe en Allemagne. A son retour, elle décide de faire un an de stages avant de faire sa dernière année et de valider son diplôme. Elle ne voulait pas se lancer dans le monde du travail sans savoir à quoi s'attendre.La réalité du métierSon premier stage ne se passe pas comme prévu. Elle ne fait qu'un jour dans une agence aux pratiques pas tellement bienveillantes. Grâce au soutien de sa famille elle quitte ce stage et en cherche un nouveau. Elle veut absolument faire un stage dans une petite agence. Elle trouve une agence dans laquelle tout se passe très bien pendant 6 mois. Puis elle enchaîne avec un stage dans une très grosse agence et dans un domaine différent pour tester plusieurs choses. Le but était de vérifier ce qui lui plaisait ou non.Sûre de ce qu'elle veut, elle enchaîne avec sa dernière année, est diplômée et emménage à Bordeaux. A ce moment le marché du travail est compliqué. Elle trouve difficilement un premier CDD de 5 mois avec un architecte indépendant, tout se passe très bien. Par la suite elle trouvera un nouveau CDD dans une agence où elle est humiliée, rabaissée pendant plusieurs mois. Finalement elle finira par trouver une agence à taille humaine, aux pratiques humaines, dans laquelle elle se sent bien.Le lancement de son projetEn entrant dans cette agence, elle découvre un rituel qui est de faire des gâteaux pour tout le monde à chaque événement de se vie. Elle se met alors en tête de faire les meilleurs gâteaux de l'agence et se lance à fond dans la pâtisserie. Tellement qu'elle se mettra au défi de passer son CAP en candidate libre. Une fois le CAP en poche, elle se dit qu'elle aimerait bien marier architecture et pâtisserie, sans vraiment définir de projet précis.C'est une rencontre, celle de Gabriella et de sa formation vivre-food, qui fera tout basculer. Elle suit la formation, définit son projet avec précision. Et puis décide de se lancer, mais pour cela elle demande un temps partiel à ses patrons qui refusent et lui proposent plutôt une rupture conventionnelle. Un peu surprise et paniquée, mais avec le soutien de son entourage, elle prend son courage à deux mains et la voilà aujourd'hui entrepreneuse à 100%.Rendez-vous dans trois moisAvec Charline on se donne rendez-vous dans trois mois pour connaître la suite du projet. Le projet est en deux parties. Charline souhaite faire à la fois des buffets sucrés pour les entreprises, les vernissages, etc mais aussi de créer des moules en silicone, le tout dans un univers graphique et coloré. Pour connaître ses objectifs il faudra écouter l'épisode !RéférencesInstagram @maquettecreme Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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89:30 | 31/07/2021 | |
#17 [2/2] Marjolaine, parcours psychologique d’une grossesse extra-utérine
Vous avez pu entendre le parcours médical de Marjolaine dans l'épisode précédent. Si ce n'est pas le cas, je vous conseille vraiment de l'écouter les deux épisodes se complètent. Dans celui-ci, Marjolaine raconte comment elle a vécu sa grossesse extra-utérine du point de vue psychologique.Son détachement face à la situationMarjolaine a vécu tout son parcours médical avec un grand détachement. Une chose assez surprenante pour une hypersensible. Ou pas justement, c'était un mécanisme de défense pour se protéger de ses propres émotions. Mais ça elle ne l'a compris qu'avec du recul. Sur le moment, elle pensait qu'elle n'avait pas eu le temps de réaliser qu'elle était tombée enceinte et que tout était allé trop vite pour avoir des émotions. Ce détachement a duré quelques mois. Puis au mois de janvier de l'année d'après, mois durant lequel elle aurait dû accoucher, elle sent une tristesse s'emparer d'elle. Pour elle, c'est presque la dépression qui pointe le bout de son nez.Son suivi psychologiqueC'est au mois d'avril, mois pendant lequel elle était tombée enceinte un an plus tôt, qu'elle fait le lien entre ces émotions négatives et sa GEU. Elle décide d'aller voir une psychologue pour se libérer de tout ça. S'en suit un an demi de psychothérapie pendant laquelle elle aborde plusieurs sujets mais celui-là en particulier.Et maintenant ?3 ans après cet événement, Marjolaine a toujours envie d'un enfant. Quoique, elle se pose beaucoup de questions par rapport à ça. Elle a quand même toujours une peur présente, celle de revivre cette douleur insoutenable. Malgré tout elle garde le cap sur son état d'esprit positif grâce auquel elle arrive à voir le positif dans les événements de sa vie, sans en retirer le négatif.Durant l'épisode on disgresse un peu parfois. On parle de nos rapports respectifs à la psychologie, de nos avis (tranchés mais identiques) sur la façon dont est perçue la psychologie en France. Et puis on discute même d'un futur projet de podcast que l'on va finalement créer ensemble. Si vous écoutez bien l'épisode, vous pourrez d'ailleurs comprendre le thème de ce futur podcast. Allez je vous le dis quand même, vous pouvez découvrir ce projet ici. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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43:16 | 11/07/2021 | |
#16 [1/2] Marjolaine, parcours médical d’une grossesse extra-utérine
A 30 ans Marjolaine tombe enceinte mais ça ne se passe pas vraiment comme prévu. Elle fait une grossesse extra-utérine. L'embryon vient se loger dans sa trompe droite et y reste. Marjolaine raconte à coeur ouvert son parcours médical, pas vraiment simple.Les premiers symptômesAvant même de savoir qu'elle était enceinte, elle fait sa première crise sans vraiment se douter de ce qu'il se passait dans son corps. Les symptômes peuvent se manifester de différentes manières selon les femmes. Pour Marjolaine, ce sont de violentes douleurs dans le bas du ventre qui durent plusieurs heures. Des douleurs telles qu'elle ne pouvait plus bouger, pliée en quatre, elle attend que ça passe.La diagnostiqueElle passe à autre chose puis apprend qu'elle est enceinte quelques jours plus tard. Elle va faire des analyses et raconte sa crise à sa médecin qui reste muette. Mais elle n'a pas tellement le temps de réaliser ce qui lui arrive qu'elle fait une nouvelle crise. Elle se rend à nouveau chez sa médecin qui l'ausculte et évoque pour la première fois la possibilité d'une grossesse extra-utérine. Elle est envoyée chez un gynécologue pour faire une échographie mais l'embryon étant logé dans une trompe et encore trop petit, rien n'est visible à l'échographie. Elle est alors envoyée aux urgences où elle restera plusieurs heures.Une première solutionAprès des heures à attendre son tour aux urgences, ils la convoquent le lendemain en lui proposant deux solutions : une injection d'un produit qui se propage dans tout le corps pour détruire l'embryon ou une opération. Finalement, le corps médical décide que l'injection est moins risquée pour elle. Elle raconte bien mieux que moi comment elle a vécu ce moment particulièrement désagréable avec un corps médical plutôt absent. L'injection faite, elle rentre chez elle, fatiguée, même épuisée.Mais c'était loin d'être fini …Quelques jours plus tard, elle fait une nouvelle crise mais bien plus forte cette fois. Tellement qu'elle s'évanouit et vomit de douleurs. Les urgences viennent la chercher chez elle pour l'emmener à l'hôpital. Cette fois, l'échographie montre que la trompe a explosé et qu'elle fait une hémorragie interne. Direction le bloc opératoire. Ce n'est qu'à ce moment précis qu'elle s'est vraiment sentie prise en charge par le corps médicale, ce qui a rassuré son chéri, impuissant face à la situation.La guérison physiqueAprès l'opération, elle le sait, c'est terminé, cette histoire est derrière elle. La guérison physique est lente mais au bout de quelques mois elle retrouve tout de même ses capacités physique. Elle sait qu'avec une trompe en moins il est plus difficile de tomber enceinte et il y a plus de risque de refaire une GEU mais elle sait aussi que c'est quand même possible.Pour connaître son parcours psychologique et émotionnel tout au long et après cette épreuve, je vous donne rendez-vous dans le prochaine épisode d'ici quelques jours. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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63:56 | 03/07/2021 | |
#15 Rachel : « Quand je fais un truc je ne me donne pas le choix de le rater »
Rachel est aujourd'hui la fondatrice de Pastille, une marque engagée de jolis décors pour gâteaux. Pendant longtemps elle a cherché à fusionner les deux domaines qui l'animent au quotidien, à savoir la pâtisserie et le design. C'est après un parcours semé d'embûches et de mésaventures qu'elle a trouvé sa place et qu'elle se construit la vie qu'elle souhaite.Une enfance atypiqueDès son plus jeune âge Rachel se passionne pour la danse classique. Dans un premier temps, ses parents refusent qu'elle en fasse. Mais à force d'obstination elle obtient gain de cause. Elle se donne corps et âme dans sa passion, fait sport étude jusqu'en terminale avec pour objectif de devenir danseuse étoile. Mais malheureusement, elle se blesse à quelques semaines des examens et auditions.Pour rebondir, elle se dirige vers des études de mode sans vraiment savoir dans quoi elle s'embarque. Après une année de MANAA (mise à niveau en arts appliqués), elle fait un BTS design de mode puis un DSAA (Diplôme Supérieur des Arts Appliqués) qui l'orientent vers un métier de directrice artistique. A la sortie de ces études, elle trouve un CDI chez Kiabi en tant qu'illustratrice pour le rayon bébé.Un parcours un peu flouRapidement elle s'ennuie dans son travail et ouvre en parallèle un blog expérimental autour de la pâtisserie. La pâtisserie a toujours fait partie de sa vie mais à ce moment elle envisage d'en faire son métier. Elle voudrait mêler ses deux passions : le design et la pâtisserie, c'est comme ça qu'elle trouve une formation de design culinaire à Reims. Elle se lance dans cette nouvelle expérience toujours sans savoir ce qu'il en ressortira à la fin.En rentrant de cette formation, elle trouve un CDI alimentaire en tant que vendeuse chez Alice Délice. En même temps, elle fait des missions freelance pour Kiabi et d'autres marques textiles comme illustratrice. Mais ce n'est pas tout ! Pendant sa formation, elle rencontre Marion avec qui elle monte le Studio Exquisite avec pour projet de créer des carnets de tendance pour les pâtissiers et chocolatiers. Elle fait des choses extraordinaires mais c'est très intense mentalement.L'expérience qui change sa vieUn jour, alors qu'elle faisait des travaux dans sa maison, c'est dans un état presque second qu'elle s'inscrit au Meilleur Pâtissier. Elle ressens un fort besoin de faire des gâteaux, de rencontrer des professionnels et de partager sa passion. Elle appréhende le concours et se prépare comme une gagnante. Elle va jusqu'au bout mais encore une fois sans savoir ce qui allait se passer après.Et pourtant c'est bien l'expérience qui a changé sa vie. Elle y a fait des rencontres qu'elle n'oubliera jamais et qui sont aujourd'hui sa force. Il y a bien sûr son amitié avec Gabriella (épisode 8 saison 1) mais aussi la rencontre de grands chefs qu'elle va re-croiser plus tard dans son parcours. Ces chefs sont notamment Pierre Hermé et Frédéric Beau qui vont lui valider le concept de son projet qui va devenir Pastille.Les référencesLe site Pastille L'Instagram de Rachel Le studio Exquisite Le livre de Philippe Urraca Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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90:00 | 29/05/2021 |