Show cover of C dans l'air

C dans l'air

Caroline Roux, du lundi au jeudi et Axel de Tarlé les vendredis et samedis rendent compte en direct, en compagnie d’experts, de ce qui fait l’actualité et donnent aux téléspectateurs les clés nécessaires pour la comprendre et l’appréhender dans sa globalité. En fin d’émission, ils répondent aux questions posées par les téléspectateurs par SMS, Internet ou via les réseaux sociaux.Retrouvez C dans l’air en replay sur france·tv  : http://bit.ly/c-dans-l-air-podcast🎙️ Et en podcast sur toutes les plateformes :  https://audmns.com/EUDBMds

Titres

C dans l'air du 8 février 2025 -  Immigration, droit du sol : la course à droite est lancée !Les experts :- Richard WERLY - Journaliste, correspondant à Paris du média suisse Blick.ch- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - Franceinfo TV- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

08/02/2025 • 04:15

C dans l'air du 8 février 2025 -  Immigration, droit du sol : la course à droite est lancée !Le sujet a enflammé l'Assemblée nationale cette semaine. A l'origine, une proposition de loi des Républicains visant à restreindre le droit du sol à Mayotte. À l'issue d'un débat âpre, marqué par plusieurs suspensions de séance, la proposition de loi a été adoptée jeudi à 162 voix contre 93. Marine Le Pen s'est réjouie d'une "petite victoire". Alors qu'à gauche, Eric Coquerel de la France insoumise dénonce "l'extrême-droitisation du débat. Mais certains ministres veulent aller bien plus loin. Le Garde des sceaux Gérald Darmanin s'est dit "favorable à ce que les Français puissent trancher ce genre de question lors d’une élection présidentielle en 2027 ou lors d’un référendum ". Déjà auteur d'une formule très critiquée sur une prétendue "subversion migratoire", le Premier ministre François Bayrou souhaite, lui, élargir le débat sur "qu'est-ce que c'est qu'être français". Une manière de donner des gages à la droite, après avoir négocié le budget avec la gauche. Très engagé sur l'immigration, le très droitier ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau espère bien profiter de ce débat pour gagner en popularité dans son camp.Ajoutée discrètement dans le budget, une autre mesure politique a provoqué un mini séisme cette semaine. En quête de recettes pour faire passer son projet de loi de finances, le gouvernement souhaitait abaisser le seuil d'exemption de la TVA pour les auto-entrepreneurs. Mais la mobilisation des fédérations de micro-entrepreneurs a contraint Bercy à faire machine arrière, en dénonçant "une complexification majeure pour tous ceux qui vont passer à la TVA" et en particulier les "presque 250 000 auto-entrepreneurs et 100 000 indépendants". Le président de l’Union des autoentrepreneurs (UAE), François Hurel estime même qu'une telle mesure en pousserait certains à sous-déclarer leur chiffre d'affaires annuel pour rester en-dessous du seuil de 25 000 euros. Face à l'indignation, le gouvernement a retiré sa mesure, mais la mèche a déjà été allumée. Marc Sanchez, secrétaire général du syndicat des indépendants et des TPE y voit "le pire des signaux qui pouvaient être adressés à l’activité entrepreneuriale". Un constat terrible, lorsqu'on sait à quel point Emmanuel Macron avait fait de la liberté entrepreneuriale son cheval de bataille depuis 2017.Signe de la perte de popularité d'Emmanuel Macron, les troupes du parti présidentiel Renaissance ont fondu comme neige au soleil. De 450 000 en 2017, le nombre d'adhérents est passé à 35 000 en 2023 et moins de 10 000 aujourd'hui. Manque de clarté sur la ligne politique, réforme des retraites, dissolution... Les raisons du désamour entre Renaissance et sa base sont nombreuses. Pour relancer cette machine, le nouveau secrétaire général Gabriel Attal a lancé les "états généraux" du parti à la mi-janvier : pendant un mois, environ 500 réunions dans les comités locaux, où les militants et adhérents sont invités à s’exprimer sur les forces et les faiblesses du parti, pour que cela soit remonté au bureau exécutif. L'ancien Premier ministre a aussi lancé une nouvelle campagne de tracts aux messages offensifs : "Non au désordre, ni LFI ni RN, le sursaut maintenant". Le parti présidentiel semble même déjà tourner la page d'Emmanuel Macron : sa figure a complètement disparu des nouveaux tracts.Que cherche François Bayrou en remettant le thème de l'identité nationale au centre de la table ? Le gouvernement a-t-il trahi les auto-entrepreneurs ? Et le parti présidentiel Renaissance peut-il renaître de ses cendres ?Les experts :- Richard WERLY - Journaliste, correspondant à Paris du média suisse Blick.ch- Alix BOUILHAGUET - Éditorialiste politique - Franceinfo TV- Gaël SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa- Sylvie PIERRE-BROSSOLETTE - Éditorialiste politique - Le Point🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

08/02/2025 • 64:11

C dans l'air l'invité du 7 février avec Yann Algan, économiste, professeur à HEC.L’Assemblée nationale est-elle "contaminée" par les réseaux sociaux ? C’est le constat dressé par l’économiste Yann Algan, professeur à HEC et co-auteur d’une étude sur l’évolution des prises de paroles des députés depuis 2007.Le sentiment de voir une Assemblée Nationale plus tendue, plus polarisée depuis plusieurs années est désormais étayé par les travaux auxquels l’économiste Yann Algan a participé : "Fièvre parlementaire : ce monde où l’on catche !". Les auteurs de l’étude se sont penchés sur l’ensemble des discours numérisés sur le site NosDéputés.fr depuis 2007, soit deux millions d’interventions passées au crible de l’Intelligence artificielle.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

08/02/2025 • 10:56

C dans l'air du 7 février 2025 -  Cancer : ces aliments qui nous empoisonnentLes experts :- KARINE JACQUEMART  - Directrice Générale chez foodwatch France - NICOLAS BERROD - Journaliste au Parisien-Aujourd’hui en France au service Futurs, santé-médecine et climat- JEAN-EMMANUEL BIBAULT  - Médecin-chercheur spécialisé en oncologie à l’Hôpital européen Georges-Pompidou - LUCE JEAN-BAPTISTE - Diététicienne à l’Hôpital Pitié Salpêtrière🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

07/02/2025 • 08:40

C dans l'air du 7 février 2025 -  Cancer : ces aliments qui nous empoisonnentNous en consommons parfois sans même le savoir. L’aspartame, cet édulcorant artificiel, utilisé comme substitut au sucre dans l'industrie agroalimentaire, présent dans plus de 2500 produits en Europe, y compris dans ceux qui ne sont pas sucrés, comme les plats préparés ou encore les dentifrices destinés aux enfants mais aussi plus de 600 médicaments, est depuis plusieurs jours au centre des débats. À l’occasion de la journée mondiale contre le cancer le 4 février, l’ONG Foodwatch, l’association française de Ligue contre le cancer et l’application Yuka ont lancé une pétition pour réclamer son interdiction invoquant "le principe de précaution" dans le cas d'un produit classé dans la catégorie des "cancérogènes possibles" par l'Organisation mondiale de la santé (OMS). En Europe, il est désigné par le sigle E 951 sur l'étiquette de vos produits, le "9" désignant la famille des édulcorants. Les signataires de la pétition basent notamment leur argumentaire sur une étude de l'Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm) parue il y a trois ans dans la revue PLOS Medicine selon laquelle la consommation d'aspartame augmenterait les risques de cancers, de maladies cardiovasculaires et de diabète de type 2. Pour les trois co-créateurs de la pétition, il s'agit d'un enjeu de "santé publique" et, afin d'éviter les risques pour les consommateurs.Mais qu’est-ce que l’aspartame ? Est-ce dangereux pour la santé ? Comment le repérer dans les aliments et les boissons ? Au-delà de cet édulcorant, quel est l’impact de ce que nous mangeons et buvons sur notre santé ? Et quelle eau faut-il boire ? Plusieurs enquêtes et études récentes interrogent sur la qualité de l’eau, en bouteille ou du robinet.Deux campagnes distinctes menées par le laboratoire Eurofins et les associations UFC-Que choisir et Générations futures ont ainsi révélé en janvier dernier que l’eau potable dans l’Hexagone seraient massivement contaminée par des polluants éternels, notamment le TFA (acide trifluoroacétique), issu de la dégradation de pesticides fluorés et d’autres composés industriels. Les taux observés restent néanmoins en dessous des seuils règlementaires en France, moins stricte que ceux d’autres pays, comme le Danemark ou les Etats-Unis. Et ces derniers jours un rapport de la Commission européenne pointe "une situation très préoccupante" en France, avec presque un tiers des eaux souterraines du pays polluées par les pesticides et les nitrates.Parallèlement, une étude menée par des scientifiques toulousains portant sur dix marques de bouteille d’eau vendues en grande surface a montré il y a peu qu’elles contenaient des micro plastiques. Et une enquête de la cellule Investigation de Radio France a relancé cette semaine l’affaire de la fraude aux eaux minérales du groupe Nestlé.Alors que faut–il en penser ? Faut-il s’inquiéter pour notre santé ? Quels sont les bons choix de consommation ? Et pourquoi les cancers sont-ils en forte augmentation, notamment chez les plus jeunes ? Le nombre de malades de moins de 50 ans a presque doublé en 30 ans.Les experts :- KARINE JACQUEMART  - Directrice Générale chez foodwatch France - NICOLAS BERROD - Journaliste au Parisien-Aujourd’hui en France au service Futurs, santé-médecine et climat- JEAN-EMMANUEL BIBAULT  - Médecin-chercheur spécialisé en oncologie à l’Hôpital européen Georges-Pompidou - LUCE JEAN-BAPTISTE - Diététicienne à l’Hôpital Pitié Salpêtrière🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

07/02/2025 • 63:50

C dans l'air l'invité du 6 février avec Damien DELSENY, rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice Le Parisien Douze ans après la tuerie de Chevaline, l’enquête se poursuit. Une nouvelle hypothèse relance la traque sur l'identité du tireur fou. Lors d’une reconstitution du drame, le pôle Cold Case de Nanterre, chargé de l’affaire, a conclu que l’auteur aurait tiré une série de 21 coups de feu entre 60 et 90 secondes. Une vitesse, une technique et une habileté qui seraient dignes de celles d’un militaire des forces spéciales.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

07/02/2025 • 10:32

C dans l'air du 6 février 2025 -  Impôts, pouvoir d'achat... que prévoit le budget ?Les experts :- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos  et France Inter- Jérôme JAFFRE - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - Brigitte BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

06/02/2025 • 06:17

C dans l'air du 6 février 2025 -  Impôts, pouvoir d'achat... que prévoit le budget ?Le budget de l'Etat pour l'année 2025 est définitivement adopté. Le Sénat a approuvé le texte par 219 voix pour et 107 contre, ce jeudi 6 février, au lendemain de sa validation à l'Assemblée nationale. Le Premier ministre avait dégainé l'article 49.3 de la Constitution pour le faire adopter, provoquant le dépôt d'une motion par la France insoumise. Que prévoit ce budget, élaboré sur la base de 30 milliards d’économies et 20 milliards de recettes ? Quelles sont les principales mesures du texte porté par François Bayrou ?La partie recettes est largement inspirée par le budget de Michel Barnier. Y figurent une augmentation temporaire sur l'impôt sur le revenu des ménages les plus aisés qui doit rapporter 2 milliards d'euros et la "contribution exceptionnelle" sur les bénéfices des grandes entreprises qui prévoit 8 milliards d'euros supplémentaires dans les caisses de l'État, limitée à la seule année 2025. La taxe exceptionnelle sur l’armateur CMA-CGM est également ramenée à un an et non deux. La fiscalité est aussi alourdie sur les rachats d'actions et les chaudières à gaz. Il est par ailleurs prévu un malus renforcé sur l'achat de voitures thermiques et une augmentation de la taxe sur les billets d’avion.Pour tenir compte de l'inflation, le budget revalorise de 1,8 % les tranches du barème de l'impôt sur le revenu, permettant à 619 000 contribuables de ne pas devenir imposables, selon le ministère de l'Économie et des Finances. Par ailleurs, du côté de la TVA, le seuil exemption est abaissé pour les micro-entreprises, avec un nouveau seuil unique à 25.000 euros de chiffre d'affaires annuel. Cette mesure devrait toucher 200.000 auto-entrepreneurs. Du côté des dépenses, le budget prévoit des coupes dans le budget de plusieurs ministères, en particulier dans celui de la transition écologique, la culture, l’agriculture, la recherche et l’enseignement supérieur. Les collectivités locales vont également devoir réduire leur budget d'environ 2,2 milliards d'euros. Adopté par le Parlement, ce budget suscite de nombreuses réactions et de forts remous à gauche. Car les deux motions de censure déposées par la France insoumise contre le Premier ministre sur les budgets de l'État et de la Sécurité sociale ont échoué mercredi, grâce à l'abstention du Parti socialiste et du Rassemblement national. Furieuse, la France insoumise a dénoncé la "forfaiture" du PS, et ne veut plus des socialistes au sein du Nouveau Front populaire. Les insoumis ont proposé aux écologistes et aux communistes également censeurs de faire le point sur l’avenir du NFP, alors que le Premier secrétaire du PS n’a pas l’intention de quitter l’alliance.  "Nous sommes fidèles au NFP en demeurant dans une opposition franche au gouvernement" a affirmé Olivier Faure, avant de tacler la stratégie adoptée par LFI : "Je ne suis pas disposé à me plier à une stratégie de blocage institutionnel dont le seul objet est de conduire à une présidentielle anticipée, sous la menace d’une victoire de l’extrême droite". "Ce n’est clairement pas notre budget. C’est un mauvais budget qui présente des risques récessifs, un budget comptable, sans vision stratégique» a expliqué le leader socialiste tout en se félicitant d’avoir réussi à obtenir des concessions de la part du gouvernement, comme "l’indexation des retraites sur l’inflation, le maintien du remboursement des consultations médicales, l’augmentation du budget de l’hôpital ou des Ehpad, ou les 4 000 postes d’enseignants qui ne seront finalement pas supprimés".Alors qu’est-ce que ce budget va changer pour les Français dont la priorité demeure le pouvoir d’achat ? Selon un dernier sondage Elabe pour BFMTV, 82 % d'entre eux estiment se serrer la ceinture depuis un an, dont 29% "beaucoup".Les experts :- Dominique SEUX - Éditorialiste - Les Echos  et France Inter- Jérôme JAFFRE - Politologue - Chercheur associé au CEVIPOF- Fanny GUINOCHET - Éditorialiste économique - France Info et La Tribune - Brigitte BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV PRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

06/02/2025 • 64:11

C dans l'air l'invité du 5 février avec Luc Ferry, ancien ministre, auteur de IA : grand remplacement ou complémentarité ?, publié aux éditions de l'Observatoire.  En 1997, un événement inouï secoue le monde : Deep Blue, un logiciel d’intelligence artificielle, triomphe de Garry Kasparov, champion du monde d’échecs. Pour la première fois, une machine "sans âme" surpasse l’intelligence humaine dans sa forme la plus pure. Depuis, l’IA a connu une progression exponentielle que nul n’avait anticipée. Un festival d’initiatives, de démonstrations, de manifestations, de tables rondes et autres discussions variées… À partir de ce jeudi 6 février, Paris deviendra, pendant une semaine, la capitale mondiale de l’intelligence artificielle, en accueillant le troisième sommet mondial sur l’IA après ceux au Royaume-Uni en 2023 et en Corée du Sud en 2024. La France s’est battue pour prendre la main sur cette édition - coprésidée avec l’Inde - qui ambitionne de rassembler le gratin mondial de l’IA : chefs d’États, dirigeants de grandes entreprises et de start-up leaders du secteur, entrepreneurs, scientifiques de renommée mondiale, personnalités de la société civile…Face à cette révolution, certains évoquent, entre peur et scepticisme, le mythe de Frankenstein, où la créature échappe à son créateur.Luc Ferry a pu échanger avec les meilleurs spécialistes mondiaux. Au-delà de la science pure, ces questions relèvent de l’éthique, de la politique et de la philosophie. Il nous présente les fruits de cette réflexion sur un enjeu dont aucun politique n’a encore pris la mesure, mais qui s’avère vital pour l’avenir de nos enfants.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

06/02/2025 • 11:15

C dans l'air du 5 février 2025 -  Après le Canada, le canal du Panama, le Groenland... Trump veut Gaza !Les experts :- Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences - Sciences Po Paris, auteur de Les voies de la puissance - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international  - AFP- Régis GENTÉ - Journaliste – auteur de "Notre homme à Washington. Trump dans la main des Russes"🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

05/02/2025 • 05:21

C dans l'air du 5 février 2025 -  Après le Canada, le canal du Panama, le Groenland... Trump veut Gaza !À l’occasion de la visite du Premier ministre israélien Benyamin Nétanyahu à Washington, Donald Trump a déclaré mardi soir que les États-Unis allaient "prendre le contrôle à long terme" de l’enclave palestinienne et la vider de ses habitants. "Tous", a réaffirmé Donald Trump.  "Je veux dire, nous parlons probablement d’un million sept cent mille personnes, un million sept, peut-être un million huit. Mais je pense qu’ils devraient tous partir. Je pense qu’ils seront réinstallés dans des endroits où ils pourront mener une vie meilleure et ne plus avoir à craindre de mourir chaque jour".  Le président américain qui s’est dit prêt à envoyer des soldats américains a assuré que la Jordanie et l'Egypte finiront par accepter d'accueillir des réfugiés palestiniens, malgré l'opposition de ces pays ainsi que des Palestiniens eux-mêmes. Reprenant ses habits de magnat de l’immobilier, Donald Trump s’est aussi engagé à faire de ce territoire la "Côte d’Azur du Moyen-Orient".Mais ce n’est pas tout. Questionné par la journaliste de NBC News Kelly O’Donnell, le président américain a déclaré qu’il envisageait également d’expulser les Palestiniens de la Cisjordanie et d’attribuer ce territoire à Israël. "Nous en discutons", a-t-il affirmé, au sujet de la volonté de Benyamin Nétanyahu et de ses alliés d’extrême droite de prendre le contrôle de la "Judée et Samarie" bibliques, qui incluent la Cisjordanie contrôlée par l’Autorité Palestinienne. "Les gens aiment cette idée", a-t-il ajouté, promettant une annonce "sur ce sujet très spécifique dans les quatre prochaines semaines". À ses côtés, le Premier ministre israélien a salué une proposition du président américain qui pourrait "changer l'Histoire".Des propos du nouveau locataire de la Maison-Blanche fustigés en masse à travers le monde ce mercredi. Le Hamas a dénoncé la "position raciste américaine" alignée sur "l'extrême droite israélienne" visant à "éradiquer la cause palestinienne". "Nous ne permettrons pas que soient bafoués les droits de notre peuple", a-t-il déclaré de son côté le président palestinien Mahmoud Abbas.Les déclarations de Donald Trump sont "probablement dangereuses pour la stabilité et pour le processus de paix" a affirmé la porte-parole du gouvernement Sophie Primas. "La France est opposée pleinement aux déplacements des populations", a-t-elle ajouté. L’avenir de Gaza passe par "un futur État palestinien" et non par le contrôle "d’un pays tiers", avait commenté plus tôt la diplomatie française, soulignant que le déplacement forcé de la population palestinienne de la bande de Gaza constituerait une "violation grave du droit international". Gaza "appartient aux Palestiniens", a appuyé pour sa part Berlin. Ils doivent pouvoir "vivre et prospérer" dans la bande de Gaza et en Cisjordanie, a estimé le chef de la diplomatie britannique, David Lammy.L'Arabie saoudite a redit, de son côté, qu'elle ne ferait pas la paix avec Israël sans la création d'un État palestinien et s'est opposée au déplacement de la population. Le sénateur américain Chris Van Hollen, démocrate membre de la commission des relations étrangères, s'est montré plus direct, qualifiant la proposition de Trump de "nettoyage ethnique sous un autre nom".Alors Donald Trump est-il sérieux ? Quel est son plan pour Gaza ? De l’enclave palestinienne à l’Iran, quels sont ses desseins au Moyen-Orient ?  Enfin quels sont les contours du "deal" au parfum de terres rares en discussion entre Donald Trump et Volodymir Zelensky ? Et quelle est la situation sur le front ukrainien ? Les experts :- Frédéric ENCEL - Docteur en géopolitique, maître de conférences - Sciences Po Paris, auteur de Les voies de la puissance - James ANDRÉ - Grand reporter - France 24- Daphné BENOIT - Cheffe du pôle international  - AFP- Régis GENTÉ - Journaliste – auteur de "Notre homme à Washington. Trump dans la main des Russes"PRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

05/02/2025 • 63:58

C dans l'air l'invité du 4 février avec Bernard Guetta, député européen Renew.  Il n'en démord pas. Donald Trump a assuré, vendredi 31 janvier, qu'il imposerait des droits de douane sur les produits européens à l'avenir. "Est-ce que je vais imposer des droits de douane à l'Union européenne ? Vous voulez la vraie réponse ou la réponse diplomatique ? Absolument. L'UE nous a très mal traités", a déclaré le président américain à des journalistes présents dans le Bureau ovale.Le bras de fer s’engage. Le président de la République a répondu aux menaces de Donald Trump de taxer les produits européens. Si l'Europe est "attaquée" sur le commerce, elle "devra se faire respecter", a affirmé le chef de l’État lors d’une réunion à Bruxelles ce lundi 3 février. "Les récentes déclarations des États-Unis poussent l’Europe à être plus forte et plus unie", a-t-il ajouté.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

05/02/2025 • 11:00

C dans l'air du 4 février 2025 - Le coup de force de Trump, la riposte chinoise Les experts :- ANTHONY BELLANGER  - Éditorialiste - France Info TV, spécialiste des questions internationales- PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - STEPHANIE VILLERS  - Économiste, conseillère économique de PwC France- ANNE TOULOUSE  - Journaliste franco-américaine, auteure de L’art de trumper 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

04/02/2025 • 05:34

C dans l'air du 4 février 2025 - Le coup de force de Trump, la riposte chinoise La Chine contre-attaque. Sans attendre la discussion prévue avec l’administration américaine, Pékin a décidé de répliquer, à l’entrée en vigueur des droits de douane supplémentaires de 10 % décrétés par le président américain sur les produits chinois. La Chine a ainsi annoncé ce mardi l’application de droits de douane de 15 % sur les importations de charbon et de gaz naturel liquéfié (GNL) américains, et de 10 % sur le pétrole brut, les machines agricoles et certains véhicules de grosse cylindrée, à partir du 10 février prochain. Pékin a aussi déposé plainte auprès de l'Organisation mondiale du commerce et ouvert une enquête contre le géant technologique américain Google, qu’elle dit soupçonner d’avoir enfreint sa réglementation anti-monopole.Le signal envoyé est clair : la Chine réagit lorsqu’elle est attaquée. Une façon de se placer en position de force avant des négociations sino-américaines annoncée par Donald Trump dans les prochaines 24 heures. Un président américain qui vient de suspendre pour un mois les droits de douane qui devaient être mis en œuvre ce mardi contre le Mexique et le Canada, après avoir obtenu des deux pays qu’ils surveillent davantage leurs frontières.Art du deal ou reculade ? Depuis son retour à la Maison-Blanche, la politique menée par le président américain interroge ainsi que les premières décisions d’Elon Musk au sein du "Département de l’efficacité gouvernementale". Chargé par le président américain de faire le ménage au sein du gouvernement fédéral, l’homme le plus riche du monde a déclaré, ce lundi 3 février, que l’Agence américaine pour le développement international (Usaid), qui gère des dizaines de milliards de dollars d’aide humanitaire et d’aide au développement à travers le monde, allait "fermer". Dotée d’un budget d’environ 40 milliards de dollars par an – moins de 1 % du budget fédéral –, l’organisation supervise aujourd’hui des programmes humanitaires, de développement et de sécurité dans plus d’une centaine de pays. Dès sa première semaine de retour au pouvoir, Donald Trump avait ordonné le gel de l’aide internationale américaine le temps d’un "réexamen complet" de quatre-vingt-dix jours, mettant fin à des programmes essentiels et entraînant de nombreux licenciements dans les ONG qui dépendent des financements américains.Parallèlement, le président américain qui menace d'augmenter "très bientôt" les droits de douane sur les produits européens, a conditionné lundi son soutien à l'Ukraine en contrepartie d'un accord sur l'exploitation future de ses sols, notamment de ses terres rares, c'est-à-dire des matériaux très utilisés dans l'électronique.De son côté, la Chine regarde également vers l’Europe. Face à la menace des droits de douane et au durcissement de la réglementation européenne, les industriels chinois se préparent à produire davantage de technologies vertes dans l’Union européenne. Ainsi l’entreprise chinoise DAS Solar (14 usines et 9.000 salariés en Chine) a signé un accord avec la métropole de Montbéliard pour l’ouverture en juin 2025 d’une gigantesque usine de fabrication de panneaux solaires, à Mandeure. Ce sera la première usine du groupe en Europe.Les experts :- ANTHONY BELLANGER  - Éditorialiste - France Info TV, spécialiste des questions internationales- PIERRE HASKI - Chroniqueur international - France Inter et Le Nouvel Obs - STEPHANIE VILLERS  - Économiste, conseillère économique de PwC France- ANNE TOULOUSE  - Journaliste franco-américaine, auteure de L’art de trumper PRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

04/02/2025 • 63:50

C dans l'air l'invitée du 3 février avec Emmanuelle WARGON,présidente de la Commission de régulation de l'énergie.  À compter de ce samedi 1er février, la facture d'électricité va baisser de 15 % en moyenne. Une bonne nouvelle qui concerne 24 millions de ménages en France, mais la ristourne ne sera pas du même niveau pour tous. À contrario, 10 millions d'abonnés verront leur facture augmenter.Alors qui sera concerné ? Quelle est la raison de cette baisse ? Cette baisse sera-t-elle effective immédiatement ? Pourquoi les prix augmenteront-ils pour certains foyers ?🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

04/02/2025 • 10:30

C dans l'air du 3 février 2025 - Commerce, Groenland... Trump lance les hostilités !Les experts :- PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille - NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - SONIA DRIDI - Correspondante aux États-Unis - France 24 et RTBF (en duplex)🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

03/02/2025 • 05:48

C dans l'air du 3 février 2025 - Commerce, Groenland... Trump lance les hostilités !La guerre commerciale est déclarée. Donald Trump a annoncé samedi l’augmentation à 25 % de droits de douane sur les produits provenant du Canada et du Mexique, et de 10 % supplémentaires à ceux déjà existants sur les produits chinois. Le président américain s’en est pris ainsi aux trois principaux partenaires commerciaux des Etats-Unis, qui représentent au total plus de 40 % des importations du pays. Les trois pays ont promis de riposter. Dans la foulée, Wall Street a plongé. Les bourses asiatiques et les places financières européennes ont également chuté, les investisseurs craignant les effets inflationnistes de telles mesures et leurs impacts négatifs sur les échanges commerciaux et la croissance économique mondiale.Quelques heures après la signature de ces décrets, Donald Trump a prévenu de son côté les Américains des conséquences potentielles, tout en assumant cette décision. "Est-ce que cela va faire souffrir ? Oui, peut-être. Et peut-être pas. Mais nous allons rendre sa grandeur à l’Amérique et cela vaudra le prix qu’il faudra payer", a écrit le président américain sur son réseau Truth Social. Le président des Etats-Unis a aussi de nouveau mis la pression sur le Canada en estimant dimanche que le pays "devrait devenir notre cher 51e Etat" et a confirmé qu’il prépare également une offensive sur l'Europe. Il a ainsi promis qu'il mettrait à exécution "très bientôt" ses mesures de rétorsion commerciale contre l'Union européenne qui, dit-il, s'est très mal comportée avec son pays. Défendant des droits de douane "peu élevés" qui "favorisent la croissance et la stabilité économique", la Commission européenne a prévenu, dimanche, qu’elle "ripostera avec fermeté" si l’Europe était également ciblée. "L’Europe devra se faire respecter et réagir" a également averti Emmanuel Macron ce lundi. Participant à Bruxelles avec l’ensemble des dirigeants des 27 à un sommet informel entre l'UE, l'Otan et le Royaume-Uni sur la défense européenne, le président de la République a estimé que "les choix et les déclarations" de la Maison-Blanche devaient être un "moment de réveil" pour les Européens. Paris souhaite que les fonds de l’UE soient principalement consacrés à l’industrie européenne de la défense, estimant qu’il faut avant tout garantir l’autonomie stratégique à long terme de l’Europe face à l’agressivité de la Russie. Mais dans le même temps, Donald Trump exige de ses alliés de l’Otan qu'ils passent à la vitesse supérieure en consacrant au moins 5 % de leur produit intérieur brut aux dépenses militaires. Il continue également d’affirmer ses ambitions sur le Groenland, ce territoire autonome rattaché au Danemark.Enfin en ordonnant la construction d'un bouclier antimissiles de dernière génération pour protéger le pays, comme avait tenté de le faire son prédécesseur Ronald Reagan, le président des Etats-Unis a été accusé par la Russie de relancer la "guerre des étoiles". "Nous considérons qu’il s’agit là d’une nouvelle confirmation de l’intention des États-Unis de faire de l’espace une arène de confrontation armée et d’y déployer des armes", a déclaré vendredi la porte-parole de la diplomatie russe. "Souvenez-vous de l’initiative de défense stratégique'", a-t-elle dit, qualifiant d'"odieux" ce plan voulu par le président américain Ronald Reagan dans les années 1980.La guerre commerciale de Trump déclarée, quelles pourraient être les conséquences sur l’économie mondiale ? Quelle réaction européenne ? Et que se passe-t-il dans l’espace ? La guerre des étoiles est-elle relancée ?Les experts :- PHILIPPE DESSERTINE - Directeur de l’Institut de Haute Finance, auteur de Le grand basculement - JAMES ANDRÉ - Grand reporter - France 24- PIERRE HAROCHE - Maître de conférences en politique européenne et internationale, Université Catholique de Lille - NICOLE BACHARAN - Historienne et politologue, spécialiste des États-Unis, éditorialiste - Ouest France - SONIA DRIDI - Correspondante aux États-Unis - France 24 et RTBF (en duplex)🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

03/02/2025 • 64:12

C dans l'air l'invitée du 1er février avec Aurélie Assouline, Présidente et fondatrice du Collectif 7 octobre. Après 484 jours de captivité, le Franco-israélien Ofer Kalderon est, depuis ce samedi 1er février, un homme libre. Il a été relâché ce matin avec deux autres otages, dans le cadre d'un échange contre des prisonniers palestiniens. Israël doit maintenant passer à la phase deux de la trêve avec l’ouverture du passage de Rafah. "C'est un moment de joie et de très grand soulagement", réagit sur franceinfo l'ambassadeur de France en Israël, Frédéric Journès. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

02/02/2025 • 10:30

C dans l'air du 1er janvier 2025 - Dominique Pélicot : violeur... et tueur ?Les experts :Damien DELSENY : Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice au ParisienNoémie SCHULZ : Grand reporter police justice à France TélévisionsDr. MARILYNE BARANES : Docteur en psychologie clinique et psychopathologie, spécialiste du traumatisme, experte judiciaireGénéral François DAOUST : Directeur du centre de Recherche de Gendarmerie Nationale🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

01/02/2025 • 04:34

C dans l'air du 1er janvier 2025 - Dominique Pélicot : violeur... et tueur ?Dominique Pélicot est-il aussi un meurtrier ? Le doute plane depuis qu'il a été entendu, jeudi dernier, par une juge spécialisée dans les crimes non-résolus. Déjà condamné à vingt ans de réclusion pour avoir violé et fait violer son ex-femme, Gisèle Pélicot, il pourrait être impliqué dans deux autres affaires : une tentative de viol en 1999 (pour laquelle il a reconnu une partie des faits) et un meurtre avec viol en 1991 à Paris. « Sur les faits de 1991, Dominique Pélicot dit qu’il ne connaît pas cette jeune femme », défend son avocate, « il n’y a pas d'indices graves et concordants militant en faveur de sa culpabilité ». Le mode opératoire est pourtant similaire dans les deux cas : une visite d'appartement sous un faux nom, et un mouchoir imbibé d'éther, plaqué sur le visage des agentes immobilières pour les endormir.En France, depuis 2022, un pôle cold cases existe au parquet de Nanterre. Cette cellule spécialisée est chargée d'instruire les affaires judiciaires non élucidées. Celle de Dany Leprince, dit « Le boucher de la Sarthe », pourrait être quant à elle une erreur judiciaire. L'homme a purgé 17 ans de prison après avoir été condamné en 1997 pour le meurtre de son frère, de sa belle-soeur, et de deux de leurs enfants, mais il se bat depuis le début pour prouver son innocence. Jeudi dernier, sa requête a été jugée recevable et transmise à la Cour de révision. Il pourrait donc y avoir un nouveau procès.Ces cold cases passionnent bon nombre de Français, jusqu'à créer un tourisme morbide sur certains lieux de crimes. À Lepanges-sur-Volgne (Vosges), de nombreux curieux viennent sur la sépulture du petit Gregory, retrouvé mort dans le village en 1984, sans qu'aucun meurtrier n'est jamais été retrouvé. Une association d'habitants cherche aujourd'hui à valoriser le village, et à lui donner une autre image que celle d'un décor de fait divers.Alors, pourquoi la justice s'intéresse à Dominique Pélicot pour une affaire de meurtre ? La condamnation de Dany Leprince pourrait-elle être une erreur judiciaire ? Comment stopper le tourisme morbide autour des cold cases ? Les experts :Damien DELSENY : Rédacteur en chef adjoint en charge du service police-justice au ParisienNoémie SCHULZ : Grand reporter police justice à France TélévisionsDr. MARILYNE BARANES : Docteur en psychologie clinique et psychopathologie, spécialiste du traumatisme, experte judiciaireGénéral François DAOUST : Directeur du centre de Recherche de Gendarmerie NationalePRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

01/02/2025 • 64:05

C dans l'air l'invitée du 31 janvier avec Christine KERDELLANT, journaliste et essayiste, autrice de "Ces milliardaires plus forts que les États" publié aux éditions de L'Observatoire.Bernard Arnault (LVMH), Guillaume Faury (Airbus), Florent Menegaux (Michelin)… Plusieurs grands patrons français se sont exprimés dans les médias et au Sénat ces dernières semaines pour se plaindre de la hausse temporaire des taxes sur les grandes entreprises prévue dans le budget en préparation en France pour l’année 2025, tout en affirmant qu’il ne fallait pas s’étonner si les industries décidaient de délocaliser. 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

01/02/2025 • 10:30

C dans l'air du 31 janvier 2025 - Châteaudun : une lycéenne victime de la drogue au volant Les experts :- Gilles DANSART - Journaliste spécialiste des transports et des questions de mobilité, rédacteur en chef du site Mobilettre- Pierre CHASSERAY  - Délégué général de 40 millions d’automobilistes- Caroline TICHIT - Avocate en droit routier - Aude LEROY  - Grand reporter  🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

31/01/2025 • 07:25

C dans l'air du 31 janvier 2025 - Châteaudun : une lycéenne victime de la drogue au volant La commune de Châteaudun en Eure-et-Loir est en deuil, au lendemain de l’accident mortel impliquant un car scolaire qui transportait plusieurs dizaines d’élèves. Le véhicule a quitté la chaussée jeudi matin avant de se retrouver couché sur le bas-côté : la sortie de route a coûté la vie à une lycéenne de 15 ans et a blessé 20 autres élèves. Le conducteur, âgé de 26 ans et inconnu de la justice, a été placé en garde à vue. Un premier test salivaire aux stupéfiants s’est "révélé positif", et le parquet de Chartres a indiqué, ce mercredi midi, que les résultats de la prise de sang révèlent que le chauffeur avait consommé de la résine de cannabis avant l’accident. Le conducteur, lui, nie une consommation récente. "Le gardé à vue continue d’indiquer, pour sa part, qu’il s’agit non pas d’une consommation de produits stupéfiants mais d’une contamination passive qui expliquerait la présence ainsi détectée, n’ayant pas consommé de produits stupéfiants depuis le mois de décembre dernier", a-t-il poursuivi. C’est sa compagne qui consomme régulièrement, indique-t-il, et qui pourrait être à l’origine de ce résultat. En déplacement sur place, le ministre chargé des Transports a annoncé que "des contrôles de plus en plus importants" des chauffeurs – notamment "au niveau des stupéfiants" – allaient être menés. « Malheureusement, ce qui avait été fait (...) contre l’alcool auprès d’un certain nombre de chauffeurs il y a quelques années, devra se faire au niveau des stupéfiants», a affirmé Philippe Tabarot, alertant sur les risques de la prise de stupéfiants avant de prendre le volant. 20 % des accidents mortels impliquent un conducteur sous stupéfiants, soit un accident sur cinq. Des députés portent un projet de loi pour changer la qualification "involontaire" de ces homicides. Nos journalistes ont rencontré le chef  Yannick Alléno qui en a fait son combat depuis la mort de son fils Antoine, fauché par un chauffard récidiviste en 2022.Selon le dernier rapport de la Sécurité routière, la vitesse excessive ( 33 %) demeure la première cause de mortalité, devant l’alcool (25 %). La secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs alerte également sur les dangers des routes mal entretenues, mettant en avant le constat selon lequel l’infrastructure apparaît comme l’un des facteurs mis en cause dans 30 % des accidents mortels.Les experts :- Gilles DANSART - Journaliste spécialiste des transports et des questions de mobilité, rédacteur en chef du site Mobilettre- Pierre CHASSERAY  - Délégué général de 40 millions d’automobilistes- Caroline TICHIT - Avocate en droit routier - Aude LEROY  - Grand reporter 🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

31/01/2025 • 64:24

C dans l'air l'invitée du 30 janvier avec Stéphanie Duraffourd, porte-parole d'assurland.com.L'eau continue à monter dans l'Ouest de la France, touchée par les dépressions Herminia dimanche, puis Ivo hier. Ce jeudi, l'Ille-et-Vilaine, la Loire-Atlantique et le Morbihan sont toujours en vigilance rouge aux crues. À Redon, en Ille-et-Vilaine, le pic de crue ne devrait pas être atteint aujourd'hui, et le record historique de 1936 devrait être dépassé. Depuis dimanche, 1.200 personnes ont dû être évacuées dans tout le département.En 2024, plusieurs villes, dont Paris, Meaux, ou encore Nantes, ont battu leur record de pluies. Des précipitations qui ont des conséquences directes sur les maisons, d'autant qu'elles s'alternent avec des périodes de sécheresse, qui causent des fissures dans les habitations. Quelles démarches devront faire les habitants touchés par les crues ? Dans combien de temps pourront-elles être indemnisées ? Avec l'enchainement des tempêtes, les polices d'assurance vont-elles beaucoup augmenter ? Dans certains cas, reconstruire n'est pas possible, et s'assurer non plus. Certaines personnes vont-elles devoir déménager ? Les maisons concernées pourraient-elles devenir invendables ?Stéphanie Duraffourd, porte-parole d'Assurland.com, est notre invitée. Elle reviendra avec nous sur l'épisode de crues en cours, et sur les conséquences à moyen et à long terme sur les habitations.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

31/01/2025 • 10:21

C dans l'air du 30 janvier 2025 - Budget : mais où sont les économies ?Les experts :- DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos  et France Inter- NATHALIE MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- GAËL SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

31/01/2025 • 07:51

C dans l'air du 30 janvier 2025 - Budget : mais où sont les économies ?Sept députés et sept sénateurs sont réunis depuis ce jeudi matin à huis clos pour tenter d'élaborer un compromis sur le projet de loi de finances pour l'année 2025. C’est la fameuse commission mixte paritaire (CMP) qui va devoir reprendre chaque article, et tenter de trouver des points d'atterrissage sur plusieurs mesures clés, afin d'accoucher d'un texte acceptable par les deux chambres ou qui, du moins, ne provoque pas de censure. Le tout, en respectant la cible de déficit de 5,4 % de PIB en 2025.Si certains points font déjà consensus, comme le fait qu’il n’y ait pas de nouvel impôt sur les classes moyennes, la gauche veut pousser pour que la surtaxe sur les grandes entreprises soit sur deux ans et non un an, alors que plusieurs grands patrons et le président du Medef dénoncent ces derniers jours dans les médias cette contribution exceptionnelle et pointent le risque de délocalisation. Débats à venir également sur les frais de notaire, le financement des transports, de l’aide médicale d’Etat (AME) ou encore sur les coupes budgétaires dans les ministères. La ministre de la Transition écologique, Agnès Pannier-Runacher, a tenté de défendre les crédits de son ministère mardi 28 janvier lors de ses vœux à la presse, affirmant que l’écologie était "la seule réponse viable dont nous disposons pour lutter contre trois menaces – le dérèglement climatique, la disparition de la biodiversité et les pollutions", alors que la version du projet de loi de finances votée par le Sénat la semaine dernière a acté d’importantes coupes budgétaires. Un choix dénoncé par la gauche et notamment EELV.  "La submersion migratoire n’existe pas. À l’heure où la Bretagne est sous l’eau",  Marine Tondelier a déploré que le Premier ministre "ajoute une légende à ce qui existe déjà". "La submersion marine, par contre, ça existe (…) François Bayrou ferait mieux de s’occuper des problèmes qui nous tombent sur la figure là maintenant" a ajouté sur Télematin la secrétaire nationale Les Écologistes.Dans cette commission paritaire, le socle commun est majoritaire sur le papier, avec huit parlementaires issus de ses rangs, mais il va devoir faire des concessions s’il veut éviter la censure. Le PS a prévenu qu’il ne laisserait "pas passer" un "budget d’austérité", un budget qui "sabre dans les services publics de manière importante", un budget qui ne mettrait "pas en place davantage de justice fiscale" ou qui "sacrifierait l’écologie". Le Rassemblement national a également haussé le ton, menaçant le gouvernement d’une censure s’il maintient d’ici lundi un article qui réforme la tarification de l’électricité en France avec un mécanisme de partage des revenus du nucléaire.Autre sujet de discorde, les prévisions de croissance et d’inflation du gouvernement. Le Haut Conseil des finances publiques, qui dépend de la Cour des comptes, les jugent "un peu optimistes". Problème : si la croissance est plus faible que prévu par les services de l'État, les rentrées d'argent dans les caisses le sont également. De quoi menacer l'objectif de réduction du déficit affiché.Pour l’heure les discussions se poursuivent. Si un accord est trouvé, le texte sera examiné par les députés lundi, avec possiblement le premier recours à l’article 49.3 de la Constitution de François Bayrou.Alors quel budget en 2025 ? Où sont les économies ? François Bayrou va-t-il tomber sur le budget ? Pourquoi les grands patrons et le président du Medef sont-ils en colère ? Comment les communes touchées par les inondations peuvent-elles bénéficier d’aides financières ?Les experts :- DOMINIQUE SEUX - Éditorialiste - Les Echos  et France Inter- NATHALIE MAURET - Reporter politique - Groupe de presse régionale Ebra- BRIGITTE BOUCHER - Journaliste politique - Franceinfo TV- GAËL SLIMAN - Président et cofondateur - Institut de sondages Odoxa🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

30/01/2025 • 65:13

C dans l'air l'invité du 29 janvier avec Guillaume Brachet, atteint de la maladie de Parkinson. Il témoigne dans le documentaire "Nos vies avec Parkinson", réalisé par Joseph Coriat et Guillaume Leblond, disponible sur France.tv. Il publie également "Parkinson à 30 ans", aux éditions Leduc.Agé de 36 ans, Guillaume Brachet a été diagnostiqué un peu avant ses 30 ans. En France, 270.000 personnes vivent avec Parkinson, et 25.000 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année. 17% des malades ont moins de 50 ans.Dans le film "Nos vies avec Parkinson",  on découvre comment vivent les patients atteints de Parkinson. Quels sont les symptômes, qui ne se limitent pas aux tremblements, comment on découvre sa maladie, mais aussi la lourdeur des traitements, et les difficultés du quotidien. Le réalisateur Joseph Coriat enquête aussi sur les origines de la maladie, est-elle génétique, liée à l'environnement ? Il nous montre aussi les espoirs de traitements, et on suit notamment l'opération de Cathy, une patiente qui a vu son intervention chirurgicale comme une "renaissance". Parmi les espoirs de traitement, il y a celui que développe Guillaume Brachet, notre invité. Chercheur de métier, il a créé une start up pour lutter conter sa propre maladie, Parkinson, et développer un traitement. Les essais cliniques devraient débuter prochainement. Il nous expliquera les espoirs que sa découverte suscite.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

30/01/2025 • 10:42

C dans l'air du 29 janvier 2025 - Budget : la charge des grands patrons, la colère des socialistesSi vous manquez de temps pour écouter l'émission en entier, nous vous donnons la possibilité d'accéder directement aux questions posées par les téléspectateurs qui sont un bon résumé de l'émission du jour.Les experts :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L’UsineNouvelle- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - MATHIEU PLANE - Économiste - OFCE, Observatoire Français des ConjoncturesÉconomiques🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

29/01/2025 • 05:50

C dans l'air du 29 janvier 2025 - Budget : la charge des grands patrons, la colère des socialistesC’est un coup de gueule qui fait grand bruit. À l’occasion de la présentation des résultats annuels de son entreprise, le PDG de LVMH s’est agacé de la hausse des impôts prévue en 2025 en France pour les plus grandes entreprises. Le patron du groupe de luxe a estimé qu’il s’agissait d’une "taxe sur le made in France" qui "pousse à la délocalisation". "Je reviens des États-Unis et j'ai pu voir le vent d'optimisme qui y règne. Et quand on revient en France, c'est un peu la douche froide", a déclaré celui qui a été aperçu avec ses enfants Delphine, PDG de Dior, et Alexandre, directeur général délégué de Moët-Hennessy, parmi les proches invités de Donald Trump lors de la cérémonie d'investiture du président américain. "Aux États-Unis, les impôts vont descendre à 15 %, les ateliers sont subventionnés dans plusieurs États et le président encourage cette dynamique", a salué le milliardaire.Le cinquième homme le plus riche du monde, dont Forbes estime la fortune à 168 milliards d’euros, faisait allusion à la contribution exceptionnelle sur les bénéfices des grandes entreprises, prévue pour un an dans la dernière mouture du budget 2025. Cette surtaxe devrait rapporter quelque 8 milliards d'euros à l'État cette année. Pour les groupes réalisant plus de trois milliards d'euros de chiffre d'affaires, comme LVMH, elle entraînerait une hausse d'environ 40 % du taux d'imposition sur les sociétés.Une déclaration choc qui a ravivé le débat sur la fiscalité et suscité de nombreuses réactions. À commencer par celle de la porte-parole du gouvernement qui a dit "comprendre la colère" du PDG de LVMH tout en soulignant que "chacun doit prendre part aux efforts", compte tenu de "la condition budgétaire dans laquelle nous nous trouvons". Sophie Primas a également rappelé que cette surtaxe serait "temporaire", pour un an seulement. Mais encore faut-il que le budget 2025 soit adopté.Depuis lundi, François Bayrou s'est attiré les foudres de la gauche et a provoqué la division dans son propre camp en affirmant que la France "s'approch[ait]" d'un "sentiment de submersion" migratoire. Face aux critiques, qui l'accusent de reprendre une expression de l'extrême droite, et de nourrir le fantasme, vieux de plus d’un siècle, d’un pays submergé par l’étranger, le chef du gouvernement a repris la parole le lendemain devant les députés et a maintenu l'idée d'une "submersion migratoire". "Si vous gouvernez avec les préjugés de l'extrême droite, nous finirons gouverné par l'extrême droite et vous en aurez été le complice" a répondu le chef de file des députés socialistes, Boris Vallaud, "submergé par la consternation". Peu après, le PS  a décidé de suspendre les négociations budgétaires avec le gouvernement et de ne pas se rendre le soir à Bercy pour finaliser un accord avec le ministre de l'Économie sur le budget de l'État. Un retrait des discussions qui a des allures de très mauvaise nouvelle pour Matignon alors qu’une réunion cruciale aura lieu demain entre députés et sénateurs.Alors où en sont les discussions sur le budget 2025 ? LVMH bientôt délocalisé ? Comment l’Europe peut-elle revenir dans la course face à la Chine et les Etats-Unis ? Face à un Donald Trump qui promet de simplifier la vie des entreprises, l'Union européenne s’attèle à la question de la compétitivité et dévoile sa feuille de route ce mercredi. Quelle est-elle ? Enfin mutuelle communale, centre de santé, comment certaines mairies lutte-t-elle contre les déserts médicaux ? Reportage à Arcachon, ville qui développe depuis 10 ans avec succès une politique ambitieuse de santé. Les experts :- EMMANUEL DUTEIL - Directeur de la rédaction - L’UsineNouvelle- NATHALIE SAINT-CRICQ - Éditorialiste politique - France Télévisions- NATHALIE SCHUCK - Grand reporter - Le Point - MATHIEU PLANE - Économiste - OFCE, Observatoire Français des ConjoncturesÉconomiquesPRÉSENTATION :  Caroline Roux -  Axel de Tarlé - REDIFFUSION : du lundi au vendredi vers 23h40PRODUCTION DES PODCASTS: Jean-Christophe ThiéfineRÉALISATION : Nicolas Ferraro, Bruno Piney, Franck Broqua, Alexandre Langeard, Corentin Son, Benoît LemoinePRODUCTION : France Télévisions / Maximal ProductionsRetrouvez C DANS L’AIR sur internet & les réseaux :INTERNET : francetv.frFACEBOOK : https://www.facebook.com/Cdanslairf5TWITTER : https://twitter.com/cdanslairINSTAGRAM : https://www.instagram.com/cdanslair/🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

29/01/2025 • 63:50

C dans l'air l'invitée du 28 janvier avec Gaël Musquet, spécialiste de la prévention des catastrophes naturellesSuite au passage dimanche de la tempête Herminia, 600 personnes ont été évacuées en Ille-et-Vilaine, département placé en vigilance rouge pour crues par Météo-France. Le département breton et notamment sa préfecture, Rennes, traversée par deux rivières, l'Ille et la Vilaine, subit des crues inédites depuis plus de 40 ans. La Loire atlantique et le Morbihan sont également placés en vigilance rouge, et quatre autres départements en vigilance orange, alors que la montée des eaux continue. Une autre dépression, baptisée Ivo, doit s'abattre demain sur la Bretagne et l'Ouest de la France, faisant craindre une agravation de la situation."C'est une situation tout à fait exceptionnelle qui manifestement, dépasse l'histoire connue, en tous les cas, en matière d'inondations sur le territoire", a déclaré François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l'Intérieur, en visite à Rennes. "La chance à ce stade, c'est qu'il n'y a pas de victimes physiques", a dit le ministre, non loin des flots déchaînés de la Vilaine. Ces crues compliquent toujours mardi les déplacements. Le trafic ferroviaire est perturbé "sur les lignes Rennes-Redon et Rennes-Saint-Malo dans les deux sens de circulation", indique sur X le réseau ferroviaire régional BreizhGo.Gaël Musquet, spécialiste de la prévention des catastrophes naturelles, est notre invité. Il reviendra avec nous sur les crues en cours, qui n'ont pas encore atteint leur pic. Il nous parlera de la situation des habitants évacués, et du temps que cela pourrait prendre pour eux de regagner leur domicile. Il expliquera aussi pourquoi ces phénomènes de crues se multiplient, et les solutions qu'il faudrait mettre en place pour mieux les gérer.🎙️ Retrouvez C dans l'air en vidéo sur france·tv : https://www.france.tv/france-5/c-dans-l-air/

29/01/2025 • 11:12

Podcasts similaires