Les Grands entretiens

Total längd:6 h 44 min
Alfred Brendel, l'esthète couronné 5/5 : "À Vienne, autrefois, il était inconcevable d’accompagner les chanteurs avec le piano grand ouvert"
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25:28
Alfred Brendel, l'esthète couronné 4/5 : "Ne croyez pas que j’ai une mémoire colossale !"
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25:16
Alfred Brendel, l'esthète couronné 3/5 : "J’ai joué 68 fois le Concerto de Schoenberg"
Les Grands entretiens
25:19
Alfred Brendel, l'esthète couronné 2/5 : "Mon tout premier récital, en 1948, ne comportait que des fugues !"
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25:08
Alfred Brendel, l'esthète couronné 1/5 : "J’ai besoin de me sentir entouré de livres et d’objets d’art"
Les Grands entretiens
25:08
Pierre Amoyal, l'amour du son 2/5 : Pierre Amoyal : "J’ai avoué à Oïstrakh que je ne deviendrais jamais violoniste car je ne maîtrisais pas le staccato"
Les Grands entretiens
25:26
Pierre Amoyal, l'amour du son 5/5 : Pierre Amoyal, violoniste (5/5) : "Le trac est lié à l’intensité de l’engagement émotionnel qu’exige la scène
Les Grands entretiens
25:16
Pierre Amoyal, l'amour du son 4/5 : Pierre Amoyal, violoniste (4/5) : "Un violon, c’est une histoire d’amour très spéciale"
Les Grands entretiens
24:53
Pierre Amoyal, l'amour du son 3/5 : Pierre Amoyal, violoniste (3/5) : "Christian Ferras m’a demandé de lui montrer comment jouer les gammes"
Les Grands entretiens
25:11
Pierre Amoyal, l'amour du son 2/5 : Pierre Amoyal : "J’ai avoué à Oïstrakh que je ne deviendrais jamais violoniste car je ne maîtrisais pas le staccato"
Les Grands entretiens
25:26
Pierre Amoyal, l'amour du son 1/5 : Pierre Amoyal : "Ce qui m’a bouleversé dans la sonorité de Jascha Heifetz c’est ce qu’il y avait derrière"
Les Grands entretiens
25:13
Hortense Cartier-Bresson (5/5)
Les Grands entretiens
25:21
Hortense Cartier-Bresson : « La musique que nous jouons sort du silence. »
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25:13
Hortense Cartier-Bresson : « Je ne supporte pas les gens qui cognent… ni les sons creux »
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25:19
Hortense Cartier-Bresson  (2/5) : "Je voulais avoir joué une œuvre cent fois en concert avant de l’enregistrer"
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25:18
Hortense Cartier-Bresson : " György Sebök n’avait pas d’esbroufe dans son jeu : il avait un jeu simple et sincère"
Les Grands entretiens
25:17
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